Affaire conclue de Sophie Davant sur France 2 passionne les téléspectateurs depuis maintenant plusieurs années. Cependant, les internautes l’ont encore critiquée pour un comportement envers une vendeuse et un des commissaires-priseurs le 13 octobre dernier. En fait, il s’agissait d’un commissaire-priseur très aimé par le public, Harold Hessel.
Sophie Davant subit encore les critiques des internautes
Lors de l’épisode du 13 octobre dernier, Sophie Davant a reçu en premier lieu Virginie qui voulait vendre un service en porcelaine. Ce dernier illustre Tintin et l’album « Le trésor de Rackham le rouge. » La vendeuse a expliqué pourquoi elle met en vente ces objets suite aux moqueries de ses enfants sur sa maladresse. Elle a déclaré avec ironie : « je renverse beaucoup, je tombe de mon tabouret, je les fais rire, je fais tomber les perles, etc. » Ainsi, elle ne veut pas que cela se produise avec son service de Tintin en parfait état fabriqué en 1996.
De son côté, le commissaire-priseur Harold Hessel a voulu préciser les personnages illustrés dans le service. On y trouve Tintin, Milou, le capitaine Haddock et le sous-marin.
Seulement, la présentatrice fait tomber une pièce par accident, sans que celle-ci n’ait subi de dégât. Et cette maladresse lui a voulu les critiques sur les réseaux sociaux comme quoi, elle voulait toucher à tous. Aussi, on lui reproche de n’avoir aucune manière et de ne pas avoir demandé pardon à la vendeuse pour l’incident. En effet, elle a juste déclaré : « on se demande qui est la plus maladroite des deux. »
Affaire conclue : un comportement déplacé de Sophie Davant
Après cela, il y a eu un autre incident lorsqu’une autre vendeuse, Olivia, a présenté son objet dans Affaire conclue. Cette conseillère municipale a mis en vente un mobilier. Ce mobilier vient du designer et architecte américain Charles Eames et sa femme Ray.
Ainsi, Harold Hessel a apporté des précisions concernant les fauteuils datant de 1956. Il a alors déclaré : « … parmi les sièges les plus célèbres de la planète… Ils n’ont pas pris une ride, ils sont toujours autant à la mode, il s’est vendu depuis 1956 plus de six millions d’exemplaires de ces sièges. »
Toutefois, Sophie Davant n’a pas pu résister de s’assoir sur ces derniers en donnant des ordres à son collègue. En effet, elle a osé dire à son collègue : « ça ne vous dérange pas de me rapporter le repose-pieds et de me le mettre à bonne distance ? » Et ce dernier, avec politesse, a fait ce qu’elle a dit. Ainsi, ce nouvel incident a de nouveau suscité les critiques des internautes. On a alors pu lire dans les réseaux sociaux : « non mais?!! Harold n’est pas son larbin. » Ou encore : « Ça y est, elle est installée et donne des ordres au pauvre Harold qui est trop patient. »
