Un habitant de la ville où Delphine a été portée disparu a récemment fait des révélations qui font rebondir l’enquête liée à la mort de Delphine Jubillar. On vous dit tout !
Voilà maintenant plusieurs années que l’affaire Delphine Jubillar demeure irrésolue. Beaucoup de Français se posent des questions sur les réelles circonstances de sa mystérieuse disparition. Parmi eux figure Jérémie (36 ans), originaire de la ville où elle a habité. Ce-dernier est bien décidé à faire progresser l’enquête.
Affaire Jubillar : Jérémie témoigne
En décembre 2020, les Français apprennent par le biais des médias la disparition dans d’étranges circonstances de Delphine Jubillar à la suite de son instance de divorce. Dans les colonnes de La dépêche du midi, Jérémie apporte des détails qui devraient faire progresser l’enquête. Le mari de la victime a toujours fait l’objet de suspect n°1 alors qu’il était le premier à avoir signalé la disparition de l’infirmière.
L’époux de la victime a par suite été écroué en prison pour « homicide » même si aux yeux de la justice, il demeure innocent. Un jeune homme originaire de la commune d’Albi est récemment sorti du silence après avoir mené sa propre enquête sur cette sordide affaire. Il assure avoir croisé Delphine Jubillar à plusieurs reprises avant que cette-dernière ne s’évapore dans la nature. Dans son témoignage, il confie : « Cette affaire m’a profondément affecté. J’ai décidé d’apporter ma contribution pour sa résolution en partant chaque dimanche à la recherche du corps ».
Le corps de la victime sous l’eau ?
« La majorité des enquêteurs fouillent à vue en espérant trouver le corps en surface. Ce qui ne me convainc guère…Moi je préfère fouiller dans le sol, au peigne fin par le biais d’un détecteur de métaux. Ce n’est pas encore terminé, les recherches se poursuivent et ça prend beaucoup de temps », explique Jérémie. Il faut dire que ce-dernier est très familier avec cet endroit puisqu’il y a passé l’intégralité de sa jeunesse.
L’albigeois utilise également une caméra endoscopique pour vérifier les dessous des roches et marécages. Le trentenaire est dans tous les cas persuadé que le corps de la victime se trouve sous l’eau, dans le Cérou ou dans le Tarn.