Bientôt, une très bonne nouvelle pour des millions de Français. Le gouvernement va incessamment revaloriser quelques aides sociales.
Aides sociales : voici les allocations qui vont augmenter
Le 07 juin 2022, Elisabeth Borne a annoncé une revalorisation des retraites pour juillet prochain. Si la première ministre française avait parlé des aides aux personnes âgées, elle n’avait pourtant pas précisé les autres aides qui connaîtront le même sort. Ceci prouve, une fois de plus, que la France est la plus généreuse en termes d’aides sociales.
En effet, l’État français livre différentes sortes d’allocations depuis quelques années pour soutenir ses citoyens. Ainsi, les plus faibles auront le privilège de bénéficier de ces aides promises. Justement, quelques allocations vont connaître une revalorisation très prochainement.
En effet, il y a d’abord l’allocation aux adultes handicapés ou l’AAH, ainsi que le revenu de solidarité active ou le RSA. Également, l’allocation de solidarité aux personnes âgées ou l’ASPA ou encore le minimum vieillesse, et l’allocation supplémentaire d’invalidité ou l’ASI. Enfin, l’allocation de solidarité spécifique ou l’ASS (pour les chômeurs en fin de droits), sans oublier l’allocation veuvage ou l’AV.
D’après les informations reçues, le taux de revalorisation sera de 4%. La hausse de ces aides sociales est très importante, surtout en cette période d’inflation. En tout cas, cela va résoudre quelques soucis du quotidien pour certains foyers.
Aucune revalorisation pour l’APL ?
L’aide personnalisée au logement ou l’APL est une prestation sociale qui vise à réduire le montant du loyer à payer pour les locataires les plus modestes. C’est la Caisse des allocations familiales ou CAF qui se charge de la verser.
Il faut noter que toutes les allocations sociales vont subir une revalorisation à partir de juillet 2022. Cependant, les bénéficiaires d’APL seront obligés de patienter. En effet, ils ne verront pas l’APL augmenter cette année, car elle a déjà augmenté de 0, 42% en 2021. En revanche, elle pourra peut-être hausser de 3,5%, à condition que la « loi pouvoir d’achat », bientôt promulguée le 06 juillet, l’autorise.