De nouvelles révélations viennent de tomber concernant le Prince Albert de Monaco. Il s’agit plus précisément d’une enseignante de yoga et d’un héritage valant plusieurs millions d’euros. On vous dit tout !
Durant de longues années, le Prince Albert II et la veuve d’un Américain fortuné se livrent dans un combat judiciaire houleux. L’objet de la bataille ? L’héritage du richissime américain. La rédaction de Lacs champagne revient sur cette surprenante histoire pour vous !
Albert de Monaco impliqué dans une affaire d’héritage
À partir du moment où un défunt laisse deux testaments derrière lui, la guerre de l’héritage devient inévitable. Dans ce genre de situation, il est rare que la succession se déroule sans encombre. Lorsque ce même défunt nomme le souverain du Rocher comme son légataire universel dans l’un des testaments, et que dans l’autre il attribue ses biens à sa femme, forcément, un imbroglio a lieu.
Depuis plusieurs années, le mari de Charlène de Monaco et la veuve d’un richissime américain, Isabella Smith (le prénom a été modifié), une ex-prof de yoga âgée de 68 ans, se livre un long combat judiciaire. Le litige se fait en toute discrétion pour ne pas ternir l’image du prince.
L’objet de ces conflits n’est autre que l’héritage de Kellogg Smith, héritier d’une famille d’industriels, qui s’est éteinte à l’âge de 85 ans, il y a 10 ans à Monaco. Aujourd’hui, la vérité éclate au grand jour et ces révélations autour du père de Jacques et Gabriella risquent d’en surprendre plus d’un.
Un héritage à 3,5 millions d’euros
Dans cette surprenante histoire restée secrète jusque-là, et dont « l’Obs » explique tous les détails, chaque partie accuse l’autre d’agir à l’encontre des dernières volontés du défunt. Derrière ces litiges, un héritage dont la somme est évaluée à 3,5 millions d’euros. Une partie de cet argent est abritée dans les comptes d’une filiale de BNP Paribas en Principauté. La semaine prochaine, le tribunal parisien étudiera la demande des avocats de la veuve. Cette dernière réclame le déblocage des fonds détenus par l’institution financière.