Alors que les rumeurs courent sur une explosion du couple Albert II — Charlène de Monaco, de nouvelles révélations viennent de tomber à leur sujet. Un problème de communication en perspective. Le point à travers cet article !
Le Prince Albert II multiplie les prises de parole pour rassurer le public sur la solidité de son mariage. Mais rien n’y fait ! Les rumeurs continuent à se répandre sur une crise conjugale au sein du couple princier.
Les choses ne s’améliorent pas au sein du couple
Le Prince Albert II a beau faire des démentis. Cela ne suffit pas à mettre fin aux rumeurs de dissensions au sein de son couple avec Charlène de Monaco. Cela fait maintenant plusieurs mois que la princesse est retenue en Afrique du Sud à cause de ses problèmes de santé. Une absence prolongée qui suscite le doute sur la solidité du couple princier. Selon le magazine Public, ces tensions cachent en vérité une guerre de communication. Selon nos confrères, les rapports ne se sont pas apaisés entre eux.
« Entre les parents de Jacques et Gabriella, les tensions sont malheureusement plus importantes. La guerre de communication est lancée », glisse la publication dans son numéro sorti le 10 septembre dernier. Et justement, la première dame ne compte pas rentrer tant que son mari n’a pas donné une suite favorable à ces requêtes.
Une situation éprouvante pour Albert II et sa femme
En effet, selon une source proche de Charlène de Monaco, cette dernière exige plusieurs points de la part de son époux, avant son retour au Rocher. Par exemple, elle souhaite qu’on lui attribue des responsabilités plus importantes en tant que première dame. L’ancienne nageuse aimerait qu’on lui confie des missions plus importantes que celles de sa belle-sœur, Caroline de Monaco, perçue comme la vraie régente.
Le souverain assure que cette polémique lui fait du mal à lui et à sa femme. Comme il l’a annoncé dernièrement lors d’un récent entretien : « Bien évidemment, elle en souffre. Le fait de mal interpréter des situations n’est pas sans conséquence… Nous sommes une proie facile à attaquer, car nous sommes très exposés sur le plan médiatique », a-t-il expliqué.