Jusque-là, Charlène de Monaco n’a toujours pas rejoint la Principauté. Son retour, initialement prévu pour la fin de ce mois d’octobre, a pourtant été avancé. En attendant, la femme du Prince Albert II poursuit sa convalescence en Afrique du Sud. Pour son mari, elle a commis l’inimaginable. Et pour cause…
« C’est ce qui lui permet de tenir bon »
Dans une récente publication Instagram, Charlène de Monaco a confié : « Je suis impatiente de retourner à la maison pour retrouver mes jumeaux. Ils me manquent énormément. N’importe quelle mère qui a été éloignée aussi longtemps de ses enfants ressentirait la même chose que moi », précise-t-elle dans son post.
Selon un proche de la première dame monégasque, celle-ci a vu sa foi s’approfondir au cours des dernières semaines. « C’est ce qui lui permet de tenir bon », explique la source anonyme dans les colonnes du magazine Elle. Il faut dire que la princesse ne peut rien pour ramener Jacques et Gabriella à ses côtés. Et pour cause, ces derniers appartiennent constitutionnellement à Monaco.
C’est pour cette raison que les rumeurs supposant qu’elle ne sera jamais de retour au Rocher restent non crédibles. Selon un autre intime, l’ancienne nageuse ne serait jamais en mesure de se séparer de ses enfants. La mère de famille tient beaucoup à ses progénitures comme aux prunelles de ses yeux.
Charlène de Monaco trouve refuge dans la religion
« C’est la première fois que j’ai été séparée aussi longtemps de mes enfants », avait indiqué Charlène de Monaco lors d’un entretien pour une station radio sud-africaine. La princesse a dû se contenter de Facetime pour rester en contact avec ses enfants. Pour faire face à cette situation difficile, elle a trouvé refuge dans la religion.
Le 5 octobre dernier, la belle-sœur de Caroline est apparue en public pour servir de médiateur dans une guerre d’héritage au sein de la communauté des Zoulous. L’objectif de la jolie blonde de 43 ans : mettre fin aux différends au sein des héritiers du roi des Zoulous. Sur une photo publiée en ligne, la femme du souverain porte « un chapelet mystique autour du cou ».