Albert II et Charlène de Monaco : enfin un accord trouvé pour les jumeaux, décision radicale

Pour le bien de leurs enfants, Gabriella et Jacques, le Prince Albert II et sa femme Charlène auraient pris une décision radicale. De quoi s’agit-il ? La rédaction de Lacs champagne vous raconte tout !

Albert II et Charlène prennent l’avenir de leurs enfants en main

Dans son édition de cette semaine, le magazine Voici revient sur cette décision délicate prise par Charlène de Monaco et le Prince Albert II. Dans les colonnes du numéro sorti le 12 novembre dernier, on peut lire la raison pour laquelle les parents de Jacques et Gabriella ont décidé de faire suivre ces derniers à l’école du Rocher. Il y a quelques mois, les deux futurs héritiers du trône ont assisté à leur rentrée en classe primaire sans leur mère. Un événement qui s’est déroulé à l’établissement François d’Assise-Nicolas Barré, à Monaco.

Pour rappel, la première dame a été retenue en Afrique du Sud pendant plusieurs mois, à cause d’une infection ORL. C’est pourquoi elle a raté la rentrée scolaire de ses enfants. La mère de famille n’est revenue que depuis peu, le 8 novembre dernier. À l’issue de son retour au sein de la Principauté, la jolie blonde de 43 ans et son compagnon ont pris une décision radicale.

Une décision prise à l’unanimité

Les parents de Gabriella et Jacques ont décidé de scolariser ces derniers au Palais. Une initiative prise pour une question de sérénité. Comme le souligne le magazine, Voici : « Le couple princier estime qu’à cet âge, il peut être difficile de devenir les héritiers du pouvoir en suivant un cursus classique ». La décision en question aurait été prise à l’unanimité par le père de famille et son épouse.

Au détour d’un article qui parle du retour de la princesse au palais, l’hebdomadaire indique que cette dernière n’est pas encore entièrement remise à la suite de sa dernière opération chirurgicale. Selon une source qui s’est confiée sous le sceau de l’anonymat : « Charlène s’est sevrée depuis plusieurs semaines. Elle est assez fébrile à l’idée de devoir faire face à la vie qu’elle a voulu fuir, avec toute la pression qui va avec ». Selon la même source, la fille de Michael Kenneth Wittstock appréhende la fête nationale, un événement qu’elle n’apprécie pas particulièrement.

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