Même si Charlène de Monaco va de mieux en mieux en Suisse, son époux, le Prince Albert II ne souhaiterait pas encore la rapatrier au Rocher. L’hospitalisation de la Première dame pourrait encore durer quelques mois. Le point à travers cet article.
Charlène de Monaco dans un état critique
Dans son édition de cette semaine, le magazine Royal Central revient sur les raisons pour lesquelles Charlène de Monaco ne pourra pas encore quitter l’établissement où elle est actuellement prise en charge. Devant l’ampleur des rumeurs qui courent au sujet de la princesse, l’hebdomadaire précise que cette dernière n’a jamais eu recours à la chirurgie plastique.
Pour ce qui est de son état de santé, on apprend que la princesse pèserait à présent 46 kilos. Autrement dit, elle a perdu quatre kilos depuis qu’elle est revenue de son pays natal. Selon les confidences d’une source proche du Palais, la mère de Jacques et Gabriella a du mal à se nourrir. De plus, elle rencontrerait des difficultés à trouver le sommeil. Voilà maintenant plusieurs mois qu’elle « se nourrit à la paille », rapporte la publication.
Toujours selon nos confrères, la Première dame du Rocher souffrirait d’une « anorexie mentale » qui requiert un traitement « mixte ». Ce qui nécessite l’intervention de plusieurs médecins spécialisés dans divers domaines : nutrition, psychanalyse, médecins généralistes, etc. L’objectif serait d’aider la jolie blonde de 43 ans à retrouver son poids normal.
Le Prince Albert II met les choses au clair
Dans les colonnes de Royal Central, on peut également lire : « Charlène de Monaco suit un traitement visant à mettre fin à sa souffrance mentale. L’objectif est également de limiter les impacts sur le plan social et relationnel ». Des allégations remises en cause par le Souverain lors d’un entretien mené par l’équipe de Paris Match.
Le Prince Albert II souligne : « La princesse souffre exclusivement de problèmes liés à la cloison ORL. Je ne veux pas déshonorer le secret médical, mais je peux vous assurer que c’est le seul problème de santé dont elle souffre. Une mise au point qui n’a pas pour autant suffi à faire répandre la polémique.