L’absence prolongée de Charlène de Monaco n’est pas sans conséquence sur la santé de Jacques et Gabriella. Alors que la mère de famille poursuit sa convalescence à l’étranger, un spécialiste a décrypté le comportement des jumeaux. Ces derniers feraient face à une relation jugée « toxique ». Le point à travers cet article !
Charlène de Monaco en convalescence loin de sa famille
Quelques jours après son retour à Monaco, Charlène a dû être rapatriée dans un centre de traitement spécialisé pour se rétablir de sa maladie. Selon nos confrères de Closer, il s’agit d’un prestigieux établissement situé en Suisse. Dans un récent entretien, le Prince Albert II a annoncé que sa femme était épuisée sur le plan physique et moral.
Elle a donc besoin de calme et de repos pour se rétablir des nombreuses opérations chirurgicales qu’elle a subies en Afrique du Sud. Pour rappel, la première dame a développé une infection ORL aiguë lors de son séjour dans son pays natal.
En raison de cette absence prolongée, c’est le souverain du rocher qui s’occupe des jumeaux, Jacques et Gabriella. Mais à force d’être éloignés de leur maman, les futurs héritiers du trône pourraient évoluer dans une relation toxique. Ce que les experts qualifient de « Co-dodo ». Il s’agit d’une pratique dont le concept est de partager le même lit que les parents. Une habitude qui s’avère néfaste lorsqu’elle n’est pas arrêtée à temps.
Une relation toxique pour les jumeaux
Dans son édition de cette semaine, le magazine Gala rapporte : « Lorsque Charlène était en Afrique du Sud, les jumeaux accompagnaient leur père lors de ses visites officielles. Ils ont pris l’habitude de partager le lit de leur papa. À la fin de l’été, le père de famille et ses deux enfants se sont rendus dans la Dordogne pour faire du canoë ». Selon nos confrères d’Ici Paris, la pratique du co-dodo a déjà été exécutée par l’ancienne nageuse et elle a des répercussions négatives sur les jumeaux.
Cette pratique empêche Jacques et Gabriella de devenir parfaitement autonomes. Selon l’hebdomadaire, le co-dodo peut provoquer à terme une surprotection. Autrement dit, les enfants vont être très dépendants de leurs parents sur le plan affectif. « Le co-dodo entretient le lien entre le bébé et la maman. Ce qui entraîne à long terme une exclusion du père », précise un pédiatre qui fait même état d’une relation « toxique ». Reste à savoir si le frère de Caroline prendra conscience des effets du co-dodo…