Si le Prince Albert II se rend régulièrement au chevet de son épouse, hospitalisée en Suisse, c’est dans le but de sauver leur couple. Le mari de Charlène de Monaco serait rongé par la culpabilité après avoir manqué de présence vis-à-vis de la mère de ses enfants. Le point à travers cet article !
Le Prince Albert II rongé par les remords ?
Alors qu’elle a été isolée en Afrique du Sud pendant plusieurs mois, le Prince Albert II n’avait pas pu venir rendre visite à sa femme de manière régulière. Aujourd’hui, le père de Jacques et Gabriella s’en voudrait à mort et il voudrait se rattraper auprès de sa femme. Pour rappel, celle-ci a été internée dans une clinique privée en Suisse à l’issue de son retour d’Afrique. Une décision prise à la suite d’une fatigue psychophysique intense.
Désormais, le frère de Caroline fait tout son possible pour soutenir la Première dame, fragilisée par une dépression. Selon nos confrères de Public, le prince s’investit corps et âme dans l’éducation et la prise en main des jumeaux, en l’absence de l’ancienne nageuse. Comme le glisse la publication : « Il s’efforce d’être là pour les enfants tout en restant un époux tendre et attentionné envers sa conjointe ».
C’est en tout cas ce que rapporte une source proche du couple princier dans les colonnes de l’hebdomadaire. Toujours selon cet intime du Souverain, ce dernier agit de la sorte parce qu’il se sent coupable de son erreur du passé. Quoi qu’il en soit, sa présence devrait remonter le moral à la mère de famille qui a pu retrouver les siens il y a quelques jours, à l’occasion des fêtes de fin d’année.
« Désormais, ces erreurs du passé sont loin derrière lui »
Dans les colonnes de Public on apprend que le Prince Albert II n’a pas toujours été un mari modèle envers Charlène. L’année dernière, alors que celle-ci était retenue en Afrique du Sud pour des raisons de santé, il lui a rarement rendu visite. Pourtant, le Souverain possède un jet privé à sa disposition.
L’hebdomadaire s’interroge ensuite sur les décisions prises par le père de famille sur le Rocher lorsque la Première dame se sentait exclue à cause du comportement de sa belle-sœur. À ce propos nos confrères soulignent : « Pas grand-chose… Il n’a même pas pris la peine de nier les rumeurs supposant un troisième enfant illégitime… Désormais, ces erreurs du passé sont loin derrière lui ».
