S’il y a bien un service qui est très prisé des Français et des Françaises en matière de succession c’est l’assurance-vie. Mais encore faut-il s’en servir à bon escient ! À ce propos, voici quelques astuces qui devraient vous aider !
L’assurance-vie cartonne en France
L’assurance-vie représente aujourd’hui l’un des placements favoris des épargnants en France. Ce service est extrêmement prisé dans tout le territoire français et on comprend mieux pourquoi lorsqu’on regarde de plus près ses caractéristiques. Comme le rapportent nos confrères de Planet : « L’assurance-vie est un produit assez bizarre au début, mais il a fini par faire des adeptes. En cause, les avantages fiscaux et les intérêts en matière d’épargne sur le long terme ».
À ce propos, l’économiste Jacques Bichot souligne : « Il s’agit du placement par excellence du bon père de famille ». Avec son caractère polyvalent, l’assurance-vie sert de préparation optimale à la retraite tout en permettant aux assurés de bénéficier d’une épargne de sécurité. À cela s’ajoute la facilité de transmission vers les héritiers.
Pour éviter les mauvaises surprises, il convient cependant de bien comprendre le mécanisme de la clause bénéficiaire. À titre informatif, c’est ce qui permet de léguer ou non les montants versés sur le contrat des légataires. Mais que faut-il retenir au sujet de cette clause ? Les détails dans les prochaines lignes !
Assurance-vie : les enjeux de la clause bénéficiaire
Selon un média spécialisé : « La clause bénéficiaire est la partie du compromis qui permet de nommer les personnes qui vont hériter du capital une fois que l’assuré sera décédé. D’une manière générale, le défunt est le souscripteur ».
En pratique, il est préférable d’informer l’assuré sur l’identité du ou des bénéficiaires, pour éviter une longue attente lors du règlement des capitaux. Dans tous les cas, il est préconisé d’avertir le notaire pour qu’il puisse s’assurer du respect des dernières volontés du défunt.
