Entre la femme d’Albert de Monaco et sa sœur, les relations n’ont jamais été au beau fixe. On apprend aujourd’hui de nouvelles révélations concernant l’origine de cette discorde. Le point à travers cet article.
En attendant que Charlène de Monaco remette les pieds au Rocher, le Prince Albert II serait en train de s’activer pour préparer le terrain. L’objectif : aider sa chère et tendre épouse à mieux évoluer au sein de la principauté, en sa qualité de Première Dame. Caroline se laissera-t-elle faire ?
Charlène et Caroline : une guerre interminable
Selon nos confrères allemands de Frau Aktuell, l’objectif de cette initiative est d’apaiser les tensions entre Charlène de Monaco et sa belle-sœur. Force est de constater qu’entre la Première Dame du Rocher et la sœur du Prince Albert de Monaco, les rapports ont toujours été compliqués. Avant le mariage des parents de Jacques et Gabriella, c’est la mère de Charlotte Casiraghi qui tenait le rôle de Première Dame à la suite de la disparition de la Princesse Grace.
À la suite du mariage, la mère de famille a dû faire profil bas. Ce qu’elle a du mal à accepter. Cette forme de jalousie expliquerait donc la mésentente entre les deux femmes. Devant la notoriété de l’aînée des Grimaldi, l’ancienne nageuse aurait préféré se rétracter. Elle a même refusé de se plier aux activités protocolaires.
Une famille frappée par une terrible malchance
« On pouvait entendre ici et là que Charlène de Monaco aurait trouvé ce prétexte suite aux relations conflictuelles qu’elle entretiendrait avec sa belle-sœur, Caroline », confie une source anonyme. Nos confrères de France Dimanche avaient déjà eu l’occasion de revenir sur cette mésentente familiale dans l’un de leurs derniers numéros.
La mère de Jacques et Gabriella aurait peur des Grimaldi : « Une famille unie, mais comme frappée par une terrible malchance. Ceux qui ont intégré la porte nuptiale n’en sont jamais sortis indemnes », précise la publication. Toujours retenue en Afrique du Sud, reste à savoir si la princesse va revenir au Rocher compte tenu de ces hostilités. Difficile à dire…