Actuellement, une nouvelle arnaque par mail se disperse dans toute la France. Les malfaiteurs peuvent vous voler une somme exorbitante à travers cette escroquerie. Voici les détails.
Procédure d’arnaque par mail
L’arnaque par mail a plusieurs formes : attaques de la chaîne d’approvisionnement, hameçonnage, fraude électronique, vol d’identifiants, logiciels malveillants et vol d’argent.
Les arnaqueurs créent une adresse similaire à celle des banques, des sociétés de cartes de crédit, ou bien de sites comme le webmail et l’e-commerce. Ils vous envoient un message vous invitant à fournir vos informations confidentielles. Cependant, tout est faux. Les escrocs sont très brillants, ils savent manier les virus informatiques ou autres modes d’infection du genre.
Les plus courants sont les fichiers portant l’extension “exe”. Les virus vont s’éparpiller à l’aide de fausses factures, d’avis de livraison de colis ou d’amendes, qui arrivent en format pdf. Les voleurs savent extraire vos informations personnelles avec les « malwares financiers » et des « trojans bancaires ». La même action se produira quand « l’identifiant et le mot de passe » seront saisis sur le clavier. On appelle cela le « keylogging ».
Une autre escroquerie populaire en ce moment
Pour rappel, le CPF, ou Compte Personnel de Formation, a remplacé le DIF, ou Droit Individuel à la Formation. Depuis le 1er janvier 2019, le compte CPF, crédité en euros, a un plafond limité à 5 000 €. Les droits recueillis en heures sont convertis à 15 € l’heure pour les fonctionnaires.
L’arnaque au CPF consiste à un appel téléphonique, un SMS ou un courriel venant d’une personne qui se fait passer pour « Mon compte de formation » ou une autre plateforme. C’est un peu la même procédure comme avec l’arnaque par mail. Certains e-mails que les arnaqueurs vous envoient contiennent un lien. Ne cliquez surtout pas sur ce lien. Supprimez tout de suite le message et changez immédiatement votre mot de passe.
L’objectif des escrocs avec l’arnaque CPF est de vider votre compte CPF. Heureusement que le site cybermalveillance.gouv.fr existe pour recueillir vos témoignages.
