Le rappeur Booba et l’influenceuse Magali Berdah ne sont pas près d’en finir avec leur guerre, selon un article de Figaro. En fait, dans un article du 23 septembre, le quotidien a rapporté que le chanteur prévoit de déposer deux nouvelles plaintes pour « abus liés à l’usage des comptes professionnels de formation (CPF) ». Ainsi, l’avocat de Booba, Maître Patrick Klugman, a lancé ces propos, selon Figaro.
Maître Patrick Klugman s’explique
L’avocat de Booba, Maître Patrick Klugman, conteste la responsabilité directe du rappeur. « Mon client n’est en rien responsable de ces faits et de ces agissements. Et Madame Berdah qui prend parfois quelques libertés avec la rigueur n’a jamais osé prétendre l’inverse […] Nul n’a jamais attribué à Booba le moindre propos antisémite », selon lui.
Pour lui, « ni le judaïsme ni l’antisémitisme ne sont en cause. Et nous ne saurions tolérer qu’ils soient ainsi instrumentalisés et érigés en systèmes de défense ». Avant de prévenir : « Aucun message haineux ou antisémite, aussi déplorable et condamnable qu’il soit, ne saurait faire obstacle ni écran à la manifestation de la vérité ».
Booba : deux plaintes en vue
Rappelons qu’il y a quelques semaines, on a enquêté l’agence Shauna Events pour « pratiques commerciales trompeuses ». De plus, Maître Klugman précise « qu’il a l’intention de contester l’attribution de l’enquête au parquet de Grasse. Ce, en raison de l’ampleur d’une affaire nationale ».
En revanche, trois mois plus tôt, Magali Berdah avait obtenu l’ouverture d’une enquête. Cette dernière était au motif de harcèlement au Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) du parquet de Paris. Elle déclare n’avoir eu aucune nouvelle de la plainte déposée par le Duc de Boulogne.
Quoi qu’il en soit, le rappeur dénonce violemment les contenus sponsorisés à outrance. Ainsi que les arnaques et le dropshipping promu par certaines stars d’Instagram. « On ira déposer deux nouvelles plaintes contre X en début de semaine « , a annoncé Maître Patrick Klugman, au Figaro. Ce, au motif d’abus liés à l’usage des comptes professionnels de formation (CPF).