Brigitte Macron, l’épouse du président de la République doit être remplie de fierté. Elle aurait en effet évité un scandale sur un sujet de test ADN. En fait, son mari était de visite à l’étranger, plus précisément en Russie. Emmanuel Macron évite alors de justesse un piège qu’ils auraient tendu là-bas. De quoi rendre heureuse sa femme. Par ailleurs, un spécialiste nous livre des explications sur cet acte.
Brigitte Macron : le scandale évité
Le chef d’État français se déplace beaucoup en Russie ces derniers temps. Et durant sa dernière visite, il y a eu une situation assez surprenante. Car les autorités russes auraient demandé à Emmanuel Macron une vérification ADN. Mais cela s’est caché sous une forme d’analyse PCR, certainement pour ne pas éveiller les soupçons. Le magazine « Le Point » évoque d’ailleurs ces circonstances, encore rappelées par le magazine « Spécial Dernière ». La situation est ainsi décrite par ces deux magazines. Effectivement, à l’arrivée d’Emmanuel Macron sur le sol russe, on lui demande soudain un examen. Les autorités « lui auraient demandé un test PCR en avançant que c’étaient les consignes de sécurité en vigueur ».
L’affaire du test ADN expliqué
Il apparaît légitime que le chef d’État français fasse une analyse sur cette situation. C’est un spécialiste de la Russie qui interprétera alors ces circonstances importantes. Celui-ci, dénommé Michel Eltchaninoff, affirme : « Il ne faut pas tomber dans la paranoïa. Ils ne prendraient par exemple pas le risque d’empoisonner un chef d’État ». C’est durant un entretien avec le Parisien qu’il partage ces confidences.
Aussi, cet homme indique qu’Emmanuel Macron ne craint rien de particulier. Et même, détenir son ADN serait une simple information pour les Russes, loin d’être très importante. Il déclare d’ailleurs que cela aurait permis aux Russes « d’en apprendre plus sur ses origines, et plus précisément d’en savoir plus sur son état de santé ». Toutefois, c’est normal de se méfier. Michel Eltchaninoff termine : « On ne sait pas à quelles fins ils auraient pu utiliser son ADN. Mais il y a une méfiance logique quand on connaît les capacités scientifiques russe dans ce domaine ».
