De nouvelles révélations viennent de tomber au sujet de Brigitte Macron qui entretiendrait des rapports tendus avec un rival de taille à l’Elysée. On vous dit tout !
Après avoir affronté un ennemi à l’Elysée, Brigitte Macron aurait finalement réussi à mettre fin aux dissensions. La femme du chef d’Etat aurai enterrer la hache de guerre et elle s’est même engager à travailler avec son ancien rival. Le point à travers cet article !
« Il leur a fallu du temps avant d’entretenir une relation harmonieuse »
Dans son numéro de cette semaine, le magazine Le Point met la lumière sur les missions de Brigitte Macron au palais présidentiel. Cette-dernière serait déçue que son mari n’écoute pas toujours ses recommandations. L’ennemi en question ne serait autre qu’Alexis Kohler, secrétaire général du Président de la République. Depuis qu’Emmanuel Macron a commencé son deuxième mandat, son épouse profite d’une plus grande autonomie lui permettant de laisser son empreinte.
La première dame et le secrétaire général figurent parmi les personnalités les plus influentes au sein du Palais. Leur partenariat a été sujet à de nombreux défis mais ils ont réussi à surmonter les épreuves et à maintenir un certain équilibre. Dans les colonnes de nos confrères, une source anonyme confie : « Il leur a fallu du temps avant d’entretenir une relation harmonieuse ».
Les relations se sont apaisées entre Brigitte Macron et Kohler
Toujours selon la même source, Brigitte Macron était consciente que son mari avait besoin de Kohler pour mieux contrôler les affaires diplomatiques. De son côté, le secrétaire général comprenait que le chef d’Etat souhaitait accorder une place de taille à son épouse. Au début, Kohler laissait libre arbitre à la première dame tout en s’assurant que ses actions ne mettaient pas de l’ombre aux affaires les plus importantes.
« Aujourd’hui, les rapports sont au beau fixe entre eux », précise un proche du dossier. Il souligne néanmoins que les deux anciens ennemis travaillent désormais chacun de leurs côtés : « Alexis gère le côté technique et administratif tandis que la Première dame apporte son opinion par rapport à la réalité. Ce qui est indispensable pour apporter de l’humanité dans les grandes décisions ».