Ces derniers temps, les rumeurs courent selon lesquelles une rébellion sournoise existerait entre Caroline et sa belle-sœur, Charlène de Monaco. Vérité ou fâcheux malentendu ?
Depuis que Charlène de Monaco est absente du Rocher, c’est Caroline qui prend les rênes du pouvoir au Palais. La sœur du Prince Albert II est-elle en bons termes avec la Première Dame officielle ? Le point à travers cet article !
Caroline et Charlène : une guérilla interminable
Pendant plusieurs années, Caroline de Monaco aurait mené la vie dure à sa belle-sœur, Charlène. La mère de Charlotte Casiraghi a toujours considéré l’ancienne nageuse comme une rivale absolue. Dans son numéro de cette semaine, le magazine 7 Tages lève le voile sur les motifs de ces hostilités. Une fois encore, le média consacre un article exclusif au clan princier de Monaco.
L’occasion pour nos confrères de rappeler l’absence prolongée de la Première Dame, actuellement en convalescence en Afrique du Sud. Pour rappel, elle a subi une opération de la sphère ORL, dans la journée du 13 août dernier, à la suite de sa sinusite. Il y a quelques semaines, la mère de Jacques et Gabriella a annoncé qu’elle ne sera pas de retour au palais avant la fin du mois d’octobre.
Au détour de cet éloignement qui dure maintenant près de cinq mois, l’hebdomadaire met la lumière sur les relations conflictuelles qu’elle entretient avec Caroline. L’aîné des Grimaldi ne supporterait pas le fait que la princesse l’ait mis à l’écart de son frère, le Prince Albert II.
Une animosité qui résulte de l’exercice du pouvoir ?
En vérité, la distance entre le Prince Albert II et Caroline résulte tout simplement des conditions diplomatiques. « L’exercice du pouvoir modifie les gens. À partir du moment où une responsabilité lui est confiée, le changement devient inévitable », souligne le souverain du Rocher.
Le père de Jazmin Grace Grimaldi enchaîne en précisant : « La vie vous met plusieurs défis à l’épreuve. Chacun d’entre eux devient une expérience qui impacte sur vos émotions, vos projets d’avenir, votre façon de voir le monde, vos perceptions », a-t-il conclu.