Jeudi dernier, Caroline Margeridon a sorti son ouvrage intitulé « Libre ! » (éditions Plon). L’occasion pour l’acheteuse d’Affaire conclue de faire parler d’elle lors d’un entretien auprès de Télé-Loisirs. Elle évoque ses rapports compliqués avec son ancien ami, Pierre-Jean Chalençon. Le point à travers cet article !
La fin d’une belle amitié
Autrefois, ils étaient comme frère et sœur. Aujourd’hui, Caroline Margeridon et Pierre-Jean Chalençon ne s’entendent plus ! Tout a commencé l’année dernière lorsque le spécialiste de Napoléon s’est plaint de ne plus avoir des nouvelles de son acolyte, depuis son expulsion de France 2. « Je n’ai plus de nouvelles d’elle ! J’ai fait de nouvelles rencontres, mais il y a les ringards et les cafards, ça aide à nettoyer ! », a-t-il déploré sur la Toile.
Des réflexions que la célèbre acheteuse de France Télévisions a eu du mal à digérer. Elle reproche ainsi au collectionneur de mener un double jeu à son égard. Comme le souligne la jolie blonde de 55 ans : « J’ai découvert qu’il s’amusait à m’insulter auprès de mes amis en me qualifiant de s*lope ou de p*te ! Et en parallèle, il m’envoie des textos indiquant que je suis “son amour” et “son amie” », explique la collègue de Julien Cohen. Aujourd’hui, les deux antiquaires ne se parlent plus.
« J’avais peur qu’il mette fin à ses jours »
Pour la sortie de son ouvrage, Caroline Margeridon s’est longuement livrée dans les colonnes de Télé-Loisirs. Et même si elle ne parle pas de son meilleur ennemi dans son livre, elle a accepté de faire des révélations fracassantes sur le sujet. L’acolyte de Sophie Davant est notamment revenue sur le jour où le propriétaire du Palais Vivienne a appris qu’il était exclu de l’émission.
« Le jour de son départ, je l’ai appelé. Il était en pleurs. J’avais peur qu’il mette fin à ses jours », a reconnu la mère de Victoire et Alexandre. Depuis, elle a découvert une autre facette de son ancien collègue qui l’a plusieurs fois clashé au sujet de ses rondeurs. « À la moindre occasion, il m’attaque pour créer le buzz, car on a cessé de parler de lui. Ces attaques ne me font rien, je le plains », a-t-elle conclu.