Les nouvelles sont bonnes pour Catherine Laborde. Alors que l’animatrice souffre de ma maladie d’Alzheimer, son état de santé serait en train de s’améliorer. Le point à travers cet article !
Pendant plusieurs années, Catherine Laborde a fait la pluie et le beau temps des téléspectateurs sur TF1. Malheureusement, la Miss Météo souffre du Parkinson, mais aussi de la maladie d’Alzheimer. Heureusement, les dernières nouvelles au sujet de cette pathologie neurodégénérative sont plus rassurantes.
Catherine Laborde au plus mal
Dans son édition de cette semaine, le magazine Le Parisien met la lumière sur la maladie d’Alzheimer. Et les révélations publiées par l’hebdomadaire ont de quoi rassurer. Catherine Laborde a vécu un véritable enfer à cause des maladies qui lui font souffrir. Les médecins ont en effet diagnostiqué une forme avancée de l’Alzheimer chez l’actrice de 70 ans.
La présentatrice vedette de la première chaîne est également atteinte de la maladie du corps de Lewy, plus connue sous le nom « démence à corps de Lewy ». Une pathologie marquée par des problèmes cognitifs d’évolution progressive et fluctuante. À ceci s’ajoutent des hallucinations visuelles et un syndrome extrapyramidal. Mais le spécialiste en neurologie Florence Pasquier livre des nouvelles encourageantes.
Un traitement en cours de validation
Un traitement pourrait voir le jour d’ici une dizaine d’années. Comme l’explique le neurologue : « On sait qu’on a ce qu’il faut pour limiter l’apparition de la maladie chez des sujets qui présentent des facteurs de risque génétiques », souligne-t-elle. « La prévention permet de retarder l’âge de la maladie et d’éviter une complication trop rapide », enchaîne le Dr Florence Pasquier.
Cette experte affirme également que les mécanismes qui touchent le cerveau sont connus. « Il s’agit d’un dépôt de peptide bêta amyloïde en dehors des tissus du cerveau, d’une
part, puis d’une dégénérescence anormale de la protéine Tau d’autre part », a-t-elle précisé. Un médicament, l’Aducanumab, est déjà proposé en Amérique. Reste à savoir s’il est efficace « sur une large population » a-t-elle conclu, sur une note d’optimisme.