Le spécialiste Nicolas Jordan de la société Rivalis nous donne des nouvelles de l’établissement de Joël, à la suite de l’intervention de Philippe Etchebest dans le cadre de l’émission « Cauchemar en cuisine » sur M6. Le point à travers cet article !
Joël en difficulté avec son restaurant
Vendredi dernier, les chefs Philippe Etchebest et Mallory Gabsi étaient venus au secours de Joël (72 ans), dans le cadre de l’émission Cauchemar en cuisine, sur M6. Le restaurateur est à la tête d’un établissement qui propose des produits de la mer, à côté de Toulouse.
L’ancien rugbyman est au bord de la faillite et les clients désertent son restaurant. En cuisine, le chef est assisté par Josie (64 ans), qui assure le service depuis 4 ans. Le problème c’est que le restaurateur abuse avec les produits congelés. Voici les explications de l’expert Nicolas Jordan sur l’état du restaurant.
« C’est un cas assez particulier. Joël travaillait énormément pour rien. Il a envie de faire bouger les choses, mais il est un peu épuisé. Il n’arrivait pas à suivre le rythme. Son restaurant est moyennement rentable et le chiffre d’affaires laisse à désirer. Il ne gagne rien. Heureusement, il va bientôt partir en retraite. Le problème se situe au niveau de la gestion des stocks. De plus, son établissement manque d’innovation » fait remarquer l’expert.
Les choses ont changé pour Joël
Grâce à l’intervention de Philippe Etchebest, Joël a réussi à sortir la tête de l’eau. Comme le confie Nicolas Jordan : « Il est désormais plus créatif. Le restaurateur a également recruté en commis en cuisine, car l’ancien second a déménagé pour des raisons personnelles. Les fans ont hâte de voir la diffusion de cet épisode. On constate une augmentation de fréquentation. Les salles sont prévues pour être pleines à craquer au cours des prochaines semaines. Ce n’est pas encore gagné, mais on est optimiste ».
Ce regain d’activité devrait aider le restaurateur à être bien préparé pour la suite de ses projets. Comme le souligne Nicolas Jordan : « On travaille sur une idée de succession. L’objectif est de mettre l’établissement en valeur. Le jour où il faudra arrêter, il pourra vendre son établissement avec une trésorerie et partir confiant », a-t-il conclu.