Le Prince Albert II traverse des jours sombres ces derniers temps. Sa chère et tendre épouse, Charlène de Monaco, est isolée à l’étranger où elle se repose après avoir été victime d’une fatigue morale et physique. Les fêtes de Noël s’annoncent tristes pour Jacques et Gabriella, en l’absence de leur maman. Le point à travers cet article !
Les jumeaux souffrent de l’absence de leur mère
Après son séjour prolongé en Afrique du Sud, Charlène de Monaco a dû être transférée dans un centre de soins spécialisés à cause de ses problèmes de santé. En raison de cet éloignement, le Prince Albert II s’occupe seul du prince Jacques et de la princesse Gabriella. Entre ses responsabilités parentales, et ses obligations de Prince, le père de famille a parfois du mal à trouver le bon équilibre.
Selon nos confrères allemands de In Touch, la Première dame souffre de graves pépins de santé. Et ce n’est pas tout ! Ses enfants lui manqueraient énormément. Un sentiment que partagent les deux adorables têtes blondes. D’ailleurs ces derniers n’ont pas été assistés par leur mère le 10 décembre dernier, alors qu’ils soufflaient leurs sept bougies.
Aujourd’hui, à l’approche de Noël et du Nouvel An, le schéma cauchemardesque se répète. Dans les colonnes du magazine, on peut lire : « La situation est frustrante. En cette période de Noël, les enfants attendent le Père Noël avec beaucoup d’impatience. Les deux futurs héritiers, eux, attendent leur maman ».
Une absence prolongée qui fait jaser
Au mois de novembre dernier, le magazine Voici avait indiqué que l’absence de Charlène de Monaco risquait de perdurer jusqu’à la fin de l’année. L’hebdomadaire avait également alimenté des frictions au sein de son couple avec Albert II. « Dès qu’elle sera en meilleure forme, la princesse se fera un bonheur de partager des instants de convivialité avec les Monégasques », rapporte la publication.
Mais vu la tournure de la situation, beaucoup doutent du retour de l’ancienne nageuse. Les ragots estimant un divorce avec le Souverain ne cessent d’enfler. Une question se pose : « La princesse sera-t-elle réunie avec sa famille à l’occasion des fêtes de Noël ? ». Rien n’est moins sûr…
