« C’était pénible » : Sylvie Vartan s’est livrée cette semaine au sujet de la guerre liée à l’héritage de Johnny Hallyday. Retour sur ce témoignage bouleversant de l’ex du Taulier.
Sylvie Vartan a eu du mal à encaisser le comportement odieux de Laeticia Hallyday à l’égard de son fils après la mort du Taulier. En dépit des années qui se sont écoulées, la mère de David conserve toujours une expérience amère de la situation. Le point à travers cet article !
« C’était pénible et surtout impensable »
Le combat autour de l’héritage de l’Idole des jeunes a duré plus de trois ans. Les deux clans ont fini par trouver une entente vers la fin de l’été 2020. Même si un accord a été conclu, les tensions sont toujours présentes entre Laeticia Hallyday et ses beaux-enfants. Durant cette guerre fastidieuse, David Hallyday a toujours soutenu sa demi-sœur, Laura Smet.
Sylvie Vartan a également soutenu son fils pendant toute la durée du combat. À 77 ans, la mère de famille a dû prendre officiellement la défense du chanteur en 2018. Une initiative qui l’a énormément affectée. « C’était pénible et surtout impensable », précise-t-elle dans les colonnes de Paris Match.
L’interprète de « Irrésistiblement » ne s’attendait pas à ce que son fils endure autant pour avoir son mot dans la guerre liée à l’héritage de Johnny. « De ma vie, je n’avais jamais cru que j’aurais à faire une telle chose. Me rendre à la télévision pour prendre la défense de mon fils », enchaîne-t-elle.
Sylvie Vartan regrette la mort de Johnny
Sylvie Vartan est très remontée contre Laeticia Hallyday, dont elle prend soin de ne pas énoncer le nom. La chanteuse n’a pas été conviée à l’hommage rendu au rocker à Bercy. Malgré tout, la mère de David Hallyday a tenu à garder le silence sans faire de scandale. Plusieurs années après la mort du Taulier, la compagne de Tony Scotti reste toujours effondrée par sa disparition.
Sylvie Vartan a eu du mal à vivre le deuil de son ex-mari. À ce propos, la fille de Georges et Ilona confie : « Tant qu’il était encore en vie, on avait beau avoir rompu pendant une trentaine d’années, je savais qu’il était présent. À présent, il me manque », déplore-t-elle dans les colonnes de l’hebdomadaire.