De nouvelles révélations viennent de tomber concernant Charlène de Monaco. Son mari, le Prince Albert II aurait mis une importante somme de côté pour les soins capillaires de la princesse. On vous dit tout !
En optant pour son look un peu rock et punk, Charlène de Monaco aurait aidé à économiser près de 90 000 euros en soins capillaires. La rédaction de Lacs champagne vous en dit plus dans les prochaines lignes !
La princesse ne compte pas lorsqu’il s’agit de chirurgie esthétique
Dans son édition de cette semaine, le magazine Woman’s Day revient sur l’économie réalisée par Charlène de Monaco en optant pour sa coiffure punk. L’hebdomadaire avance une somme avoisinant les 90 000 €. Dans une publication, nos confrères reviennent sur les nombreuses opérations de chirurgie plastique qui ont permis de redéfinir le visage de la princesse. Selon le média people, la femme du Prince Albert II aurait misé sur une rhinoplastie légère pour lui permettre d’affiner son nez.
Par la suite, le nez de la Première Dame aurait été modelé grâce à des injections de produits spécialisés à l’instar de l’acide hyaluronique ou de la toxine botulique. « Lorsqu’elle a franchi l’âge de la quarantaine, Charlène de Monaco a subi un remplissage des lèvres pour éviter que sa bouche ne s’affaisse », glisse la publication. Cette intervention permet également à la mère de Jacques et Gabriella d’afficher sa lèvre à l’aspect pulpeux.
Lorsqu’il s’agit de soins capillaires, la belle-sœur de Caroline ne lésine pas sur les moyens. De récentes révélations annoncent qu’elle dépenserait un budget similaire à celui d’Angelina Jolie en matière d’esthétique du visage. Mais ce n’est pas tout !
Charlène de Monaco trop dépensière ?
Toujours selon nos confrères de Woman’s Day, Charlène de Monaco dépense une fortune pour garnir sa garde-robe dont la valeur est estimée à six chiffres. « Tout ça pour rester jolie », souligne le magazine. Depuis son mariage avec Albert II, la princesse n’a jamais fait l’objet d’une quelconque correction de la part du Palais-Royal. Les critiques continuent à enfler à son sujet comme quoi la Première Dame se laisse un peu trop aller avec ses tenues vestimentaires.