Les révélations ne cessent de se multiplier au sujet de Charlène de Monaco. Aux dernières nouvelles, la première dame du Rocher serait atteinte de bipolarité. Pour s’en sortir, elle a décidé de se réfugier dans la religion.
Voilà maintenant plus de huit mois que Charlène de Monaco est retenue malgré elle en Afrique du Sud, loin de son mari et de ses enfants. Une séparation qui est difficile à vivre pour la femme du Prince Albert II. Heureusement, elle a trouvé un traitement efficace pour l’aider à surmonter cette épreuve difficile. Le point à travers cet article !
Charlène de Monaco au plus mal en Afrique du Sud
Être séparée aussi longtemps de sa famille peut souvent mener à la dépression. À cause de ses soucis de santé, Charlène de Monaco est isolée en Afrique du Sud, où elle s’est rendue au mois de mars dernier pour assister à des funérailles. Celles de son ami, le roi des Zoulous. Depuis, elle ne peut plus reprendre l’avion à cause d’une infection ORL avancée.
Dans son édition de cette semaine, le magazine Elle met la lumière sur le calvaire vécu par l’ancienne nageuse. Selon l’hebdomadaire, la mère de Jacques et Gabriella souffrirait sur le plan « psychologique ». Le média people s’interroge ensuite sur les véritables motifs qui retiennent la princesse aussi longtemps des siens.
La princesse se réfugie dans la religion
La dernière fois qu’on a vu la jolie blonde de 43 ans au Palais remonte au mois de janvier dernier et aujourd’hui, on est à deux mois de la fin d’année. Le magazine Elle soupçonne une forme de bipolarité qui gâcherait le quotidien de Charlène de Monaco en Afrique du Sud. « Elle peut passer de l’extase à l’abattement total », glisse la publication.
Dans les colonnes de l’hebdomadaire, on peut également lire : « Elle s’est convertie au catholicisme pour son mariage avec Albert II. Sa foi, c’est ce qui lui permet de tenir le coup ces derniers jours. Ses enfants lui manquent énormément et elle n’a aucun moyen de les faire venir à ses côtés. Constitutionnellement, ils appartiennent au Rocher », explique une source anonyme.