Si Charlène de Monaco fait l’objet de nombreuses rumeurs sur sa santé et sur son mariage avec le Prince Albert II, ce serait peut-être dû à une conspiration organisée sur le Rocher. Des projets machiavéliques destinés à empêcher les réformes du Souverain. Le point à travers cet article !
Charlène de Monaco visée par une campagne de sabotage
Sans doute, Charlène de Monaco fait partie des premières célébrités du Palais ciblées par cette conspiration, sachant qu’elle est la femme du Prince Albert II. Dans son édition de cette semaine, le magazine Paris Match se penche sur le sujet à travers un dossier spécial.
Dans les colonnes de l’hebdomadaire, on peut lire : « À l’origine des calomnies, l’intention du père de Jacques et Gabriella d’éliminer certains barons de la politique afin de promouvoir de nouveaux talents ». Le média people précise ensuite que ces profils ne sont pas choisis au hasard.
Pour tenter de mettre la lumière sur cette affaire, une enquête a été officiellement ouverte avec l’appui des services secrets français. « Une veille digitale a permis de mettre la main sur plusieurs fake news, dont l’adresse et le contact sont curieusement les mêmes », rapporte Stéphane Bern, à l’origine de la publication. Ces médias en ligne appartiendraient à des « sociétés-écrans implantées aux États-Unis, en Russie, en Islande, mais aussi en Inde ».
Un complot manigancé depuis plusieurs mois
Selon le spécialiste des têtes couronnées : « La campagne en question a été préméditée depuis plusieurs mois. Plusieurs acteurs incluant des développeurs et des rédacteurs ont été mobilisés pour exécuter ce complot savamment orchestré », explique-t-il. La vieille garde du Rocher tente elle aussi de faire bouger les choses. Ces sites proviennent tous d’une même adresse mail !
À l’occasion d’une interview menée par l’équipe de Point de vue, le Prince Albert de Monaco n’a évoqué aucun commentaire concernant cette conspiration. En revanche, le frère de Caroline se dit affecté par les articles qui pointent du doigt sa chère et tendre épouse. Comme il le souligne : « Comment pourrais-je prétendre que ces allégations ne me font rien ? Bien évidemment, ces propos offensants me blessent à moi, à la femme et à la Principauté. C’est triste et lamentable », a-t-il conclu.