Voilà maintenant plus de deux mois que Charlène de Monaco a déserté le Rocher. Selon nos confrères de Tatler, la femme du Prince Albert 1er, Alice aurait elle aussi pris la fuite à l’époque de son mariage. L’hebdomadaire revient sur ces coïncidences frappantes dans son édition de cette semaine.
Une famille victime de conjuration ?
La famille des Grimaldi serait-elle maudite ? Selon les journalistes de Tatler, il est clair que la situation vécue aujourd’hui par Charlène de Monaco n’est pas nouvelle. Pour rappel, la femme du Prince Albert II suit actuellement un traitement en Suisse à la suite d’une dépression. Son retour est attendu à l’occasion de la Sainte-Dévote prévue pour la fin de ce mois de janvier. Mais reviendra-t-elle un jour au Rocher ?
Une autre princesse méconnue du public a subi le même sort par le passé. Il s’agit de Alice Heine, une autre Première Dame qui elle aussi a fui la principauté d’antan. La principale concernée était la femme d’Albert 1er, l’arrière-arrière-grand-père du père de Jacques et Gabriella. Tout comme l’ancienne nageuse de 43 ans, elle était également très à cheval dans la protection de l’environnement.
Les mariages au Rocher ne durent jamais…
Tout comme Charlène de Monaco, la princesse s’est retrouvée dans l’obligation de patienter une dizaine d’années avant de se marier avec le Souverain. Un mariage que le père Charles III avait contesté. Avant de rencontrer la future première dame, Albert 1er était marié à l’Écossaise Lady Mary Victoria Hamilton. Malheureusement, leur engagement sera annulé en 1880.
La princesse Alice avait une passion pour les arts. Elle a d’ailleurs participé à la mise en place des ballets de Monaco et à l’environnement culturel au sein de la Principauté durant plus de 10 ans. Vers les années 1900, elle commence à ne plus trouver ses aises. Selon le magazine, les expéditions de son mari commençaient à devenir insupportables pour la princesse.
Dans les colonnes de l’hebdomadaire, on peut lire : « Alors qu’ils reflétaient l’amour au Rocher, la princesse Alice et son époux ne partageront plus les mêmes passions. Ils vont se consoler dans d’autres bras ». En 1902, la première dame lève le camp du Rocher pour s’isoler au Royaume-Uni, sans divorcer du Souverain. Vingt ans plus tard, elle décède loin de Monaco, à Paris.
