Alors que Charlène de Monaco est toujours retenue en Afrique du Sud dans des « conditions tragiques », on apprend qu’aucun médicament ne peut remédier à son infection.
Il y a quelques jours, Charlène de Monaco est passée sur la table d’opération pour la quatrième fois à cause de son infection ORL. L’intervention s’est déroulée sous anesthésie générale en Afrique du Sud. Mais aux dernières nouvelles, il semblerait que la femme du Prince Albert II soit loin d’être tirée d’affaire.
Aucun traitement possible
Dans son numéro de cette semaine, le média italien Oggi revient sur l’état de santé de Charlène de Monaco. Selon l’hebdomadaire, aucun remède ne permet de traiter la maladie dont souffre la Première Dame du Rocher. Pour rappel, cela fait plusieurs mois qu’elle est isolée en Afrique du Sud à cause de ces soucis de santé. Les médecins lui déconseillent de prendre l’avion tant que son état ne se soit pas amélioré.
La dernière fois que la mère de Jacques et Gabriella a remis les pieds à Monaco remonte au mois de mars dernier. Un intime du clan princier a confié : « C’est mauvais, très mauvais », quelques jours après que le Prince Albert II ait donné des nouvelles rassurantes au sujet de son épouse. Le frère de Stéphanie a même indiqué que la princesse pourrait être de retour plus tôt que prévu.
Charlène de Monaco dans l’impasse
L’ancienne nageuse de 49 ans serait donc dans une situation dramatique. À la suite de cette nouvelle opération chirurgicale délicate, « il semble qu’aucune solution ne puisse être trouvée », rapporte la publication. Toujours selon le magazine people, les proches de Charlène de Monaco auraient peu d’espoir.
Nos confrères allemands de Neue Post avaient rapporté au mois de juin que la Première dame monégasque souffrait d’une « ethmoïdite ». Il s’agit d’une infection de l’ethmoïde, l’un des os qui composent le « toit » des fosses nasales.
La maladie se manifeste par une température élevée et un gonflement des paupières du côté atteint. Dans les cas les plus graves, le patient peut développer une perte de la vision. Aucun communiqué officiel n’est venu conforter ces spéculations.