Pas évident de porter le statut de Première dame monégasque ! Avec la pression et le stress, Charlène de Monaco a parfois du mal à gérer ses émotions. La femme du Prince Albert II dissimulerait un profond mal-être depuis son mariage avec le Souverain. Le point à travers cet article !
Charlène de Monaco au plus mal
Après plusieurs mois d’exil en Afrique du Sud, Charlène de Monaco a fait son grand retour en Principauté il y a quelques semaines. Malheureusement, elle a vite été rapatriée dans un centre de soin spécialisé en Suisse pour suivre une cure de désintoxication. Pour rappel, la mère de Jacques et Gabriella aurait développé une accoutumance à de puissants antidouleurs.
Lors d’un récent entretien, le Prince Albert II a confié : « La princesse est fatiguée sur le plan physique et moral. Elle a besoin de repos et de calme en attendant d’être parfaitement rétablie. Les opérations chirurgicales qu’elle a subies en Afrique du Sud ont eu des répercussions considérables ». Selon une source proche du Palais, le Souverain aurait dépensé plus de 300 000 euros par mois pour la thérapie.
Mise à part cette maladie, l’ancienne nageuse souffrirait également d’un « profond mal-être ». Comme le souligne un proche dans les colonnes de Daily Beast : « Charlène de Monaco est profondément triste et ça dure depuis plusieurs décennies ». La source anonyme revient ensuite sur un déjeuner au cours duquel la jolie blonde de 43 ans se serait effondrée en pleurs.
« Je n’ai pas réussi à contenir mes larmes »
La source enchaîne en expliquant : « Albert II a fait semblant d’ignorer les larmes de sa femme. Je n’ai pas compris pourquoi elle n’a pas quitté la table en attendant de se calmer. À mon avis, elle voulait qu’on voit son chagrin ». Des déclarations qui, selon Gala, accentuent les ragots estimant que la princesse fait tout pour fuir le Rocher.
Avant son mariage avec le père de Jacques et Gabriella, Charlène apprend que ce dernier a des enfants cachés. Une pression de plus sur le dos de la princesse. Elle finit par craquer et traverse l’allée de l’église en larmes. Dans les colonnes du Times, la mère de famille souligne : « J’étais envahie par l’émotion à cause de la polémique et des tensions. Je n’ai pas réussi à contenir mes larmes (…) », a-t-elle expliqué.
