Devant l’ampleur de la polémique, Albert de Monaco a fini par briser le silence autour des rumeurs supposant que Charlène serait dépendante à un dangereux cocktail d’antidouleurs. Le Souverain a apporté des précisions sur la maladie de la princesse. Contrairement à ce que l’on croit, elle ne souffrirait pas de dépression. Le point à travers cet article !
« Charlène de Monaco est tombée dans un spiral vicieux »
Il y a quelques mois, nos confrères de Voici avaient annoncé que Charlène de Monaco était accro à de puissants somnifères depuis plusieurs années. Un cocktail d’antidouleurs jugés toxiques pour sa santé physique et mentale. Dans les colonnes de l’hebdomadaire, on apprend que ces médicaments sont 10 000 fois plus dangereux que les plus célèbres des opioïdes à l’instar de la morphine et du fentanyl.
La dépendance aurait commencé à la suite d’une vieille blessure. La mère de Jacques et Gabriella était alors contrainte de prendre ces médicaments. Au fil des années, la Première dame a rencontré des difficultés à trouver le sommeil. Comme le confie une source anonyme : « La princesse est tombée dans un spiral vicieux ». Cette semaine, le Rocher est sorti du silence.
Une convalescence qui s’éternise
Dans un communiqué officiel, le Palais explique que Charlène de Monaco ne souffre pas de dépendance. Ses soucis médicaux seraient liés à des problèmes dentaires. Dans le document on apprend que le traitement de l’ancienne nageuse continue de façon encourageante. Il est cependant précisé que la rééducation risque de perdurer encore plusieurs semaines.
Compte tenu de son état de santé encore fragile, celle qui vient de fêter ses 44 ans cette semaine ne sera pas de retour pour la Sainte-Dévote. Il s’agit pourtant d’un événement symbolique de la Principauté auquel la princesse participe chaque année. Dommage ! Dans tous les cas, on lui souhaite un prompt rétablissement dans l’espoir de la revoir bientôt auprès des siens.