Alors que Charlène de Monaco est absente du rocher, Gabriella et Jacques se sentent abandonnés. Révélation sur leur santé mentale.
Cela fait maintenant sept mois que Charlène de Monaco n’a pas remis les pieds au Palais princier de Monaco. Officiellement, la femme du Prince Albert II souffre d’une infection ORL qui l’empêche de prendre l’avion. Isolée en Afrique du Sud, elle laisse seuls son mari et ses deux jumeaux. Gabriella et Jacques se sentiraient aujourd’hui délaissés.
Gabriella et Jacques abandonnés : leur avenir en danger ?
Ce sentiment d’abandon fait l’objet d’une publication exclusive cette semaine dans les colonnes du magazine Ici Paris. Un expert des têtes couronnées rappelle auprès de nos confrères les impacts de cette absence prolongée de la princesse sur la santé psychique de ses enfants. Le fait que la princesse ne soit plus impliquée dans le quotidien des jumeaux nuirait au développement de ces derniers.
Comme on peut le lire dans les colonnes de l’hebdomadaire : « L’absence d’une mère laisse des blessures profondes et un grand vide émotionnel chez les enfants. Même si elle se réfère généralement au papa, il est fréquent de ne pas avoir une mère présente à leurs côtés ». Parmi les conséquences désastreuses évoquées figure le sentiment d’abandon et de terreur une fois que l’enfant devient adulte.
Charlène de Monaco fuit le protocole
L’hebdomadaire enchaîne en expliquant que la solitude peut être fatale pour un enfant une fois qu’il aura grandi. Selon le spécialiste royal, Stéphane Bern, les héritiers du trône se sont certainement habitués à l’absence de leur maman. Le journaliste s’est confié un peu plus au sujet du clan familial dans les colonnes de Paris Match.
« À Monaco, tout le monde sait que Charlène de Monaco n’apprécie guère les protocoles. Dès que l’occasion se présente, la princesse préfère fuir. C’est pourquoi elle est souvent en déplacement. Elle passe ses journées soit en vacances avec des amis en Turquie, soit elle se réfugie dans le domaine provençal de Roc Agel en Corse », souligne l’expert.