Charlène de Monaco mystérieuse : énigme résolue par Stéphanie de Monaco, son pilier

Visiblement, les proches de Charlène de Monaco ont toujours eu du mal à la cerner. Le caractère énigmatique de la femme du Prince Albert II a toujours suscité des interrogations. Seul un membre de sa belle-famille serait en mesure de la comprendre à part son mari. Il s’agit de sa belle-sœur, Stéphanie de Monaco. Le point à travers cet article !

Charlène de Monaco n’a qu’un seul pilier au Rocher

À l’occasion d’un entretien pour le magazine New York Post, un intime de Charlène de Monaco a fait des révélations fracassantes concernant la princesse. Selon cette source anonyme, la mère de Jacques et Gabriella cacherait une facette d’elle encore méconnue du public.

Pour rappel, la jolie blonde de 43 ans a été internée dans un établissement spécialisé en Suisse où elle suit un traitement contre son addiction aux somnifères. Depuis, la princesse est un peu dans les airs, comme si elle portait « un masque de douleurs », glisse la publication.

Selon le même témoin, la femme du Prince Albert II a toujours été une personne énigmatique et indéchiffrable. Comme il le souligne : « Elle n’était pas une femme trophée contrairement à celles qu’on rencontre souvent au sein de la Principauté. Elle n’était pas non plus une intrigante », poursuit la source. Un trait de caractère difficile que seule Stéphanie de Monaco est en mesure de comprendre. Notons que les deux femmes partagent la même passion pour les animaux.

Stéphanie de Monaco vide son sac

« La vie m’a appris à compatir pour les autres », indique Stéphanie de Monaco. La mère de Camille Gottlieb enchaîne en ajoutant : « Dans la vie, personne n’est à l’abri de rien. Personne ne doit être en position de force par rapport à un autre. La vie d’une princesse est exactement la même que celle des autres. Comme tout le monde, nous sommes des êtres humains », poursuit-elle.

La sœur de Caroline précise ensuite : « Nous aussi, nous ressentons de la peine, du bonheur, du chagrin et de la tristesse. La seule différence c’est que nous souffrons toujours en public », a-t-elle conclu. À bon entendeur, salut !

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