Voilà maintenant plusieurs semaines que Charlène de Monaco suit un traitement en Suisse pour fatigue mentale et physique. La femme du Prince Albert II enchaînerait malgré tout les missions pour son association, à distance. Dernièrement, sa fondation a été visée par des critiques venant de Michel Cymès. De quoi plonger la princesse dans une situation embarrassante.
Les Grimaldi : pour la vaccination
Novak Djokovic figure parmi les parrains de l’association dirigée par Charlène de Monaco. Le célèbre sportif, considéré comme « antivax » risque de compromettre l’avenir de la princesse dont la tribu est très investie dans le processus de vaccination. Camille Gottlieb, la fille de la princesse Stéphanie en a récemment parlé sur son compte Instagram.
La jeune femme souligne : « Je suis vaccinée contre le Coronavirus. J’ai été contaminé, mais j’ignore ce qu’il y a à l’intérieur du vaccin. Il en va de même pour les autres traitements”, en story. La jolie blonde de 23 ans enchaîne en ajoutant : « Je ne connais pas non plus la composition des vaccins contre le cancer, la polyarthrite et les autres vaccins qu’on administre aux nourrissons. J’ignore ce qu’il y a dans le paracétamol et les autres médicaments. Je sais juste que ça apaise la douleur et soigne les maux de tête », précise-t-elle.
Michel Cymes hausse le ton contre Novak Djkovic
Voilà un engagement ferme qui pourrait mettre de l’ombre au partenariat avec Novak Djokovic, sachant que le tennisman est contre la vaccination. Il exerce pourtant une influence non négligeable dans la fondation de l’ancienne nageuse. Michel Cymes a récemment fait ce constat, en s’attaquant directement à un proche de la mère de Jacques et Gabriella, lors de son passage sur le plateau de « C à vous ».
À ce propos, le médecin confie : « Djokovic est antivax. Il l’a clairement annoncé avant l’Open d’Australie. Je trouve ça méprisant qu’une personne qui veut refléter l’exemplarité auprès des jeunes clame haut et fort qu’il refuse de se vacciner ». Et le célèbre chirurgien du PAF de conclure : « Qu’il renonce au vaccin, c’est son problème. Il n’y a pas besoin de le dire publiquement », a-t-il conclu.