Alors qu’elle est toujours retranchée en Afrique du Sud, Charlène de Monaco a tenu à réaliser un incroyable coup de poker avant la fête nationale. Zoom sur ce conflit à distance avec Albert II.
La date du 19 novembre correspondrait à la date de retour de Charlène de Monaco au sein de la principauté. Une nouvelle réjouissante pour Albert II, qui ne supporte plus l’absence prolongée de sa femme. Seulement, cette dernière n’aurait pas donné son aval pour ce grand retour. Un coup de poker auquel le souverain du Rocher ne s’attendait pas.
Charlène de Monaco : coup de pression à distance
Le 19 novembre prochain, les Monégasques vont célébrer la fête nationale. Une occasion rêvée pour Charlène de Monaco de faire son come-back au Palais. Il faut dire que le père de Jacques et Gabriella ne supporte plus la séparation prolongée avec la femme et mère de ses enfants. Malheureusement, la jolie blonde de 43 ans n’a pas accordé son aval pour ce fameux retour.
Ce que nos confrères de France Dimanche assimilent à un « coup de pression à distance ». Selon l’hebdomadaire, la princesse n’aspire plus à rentrer au Rocher. Pour rappel, la Première dame s’est rendue en Afrique du Sud au mois de mars dernier pour assister aux obsèques de son ami, le roi des Zoulous. Depuis, elle a développé une infection ORL qui l’empêche de prendre l’avion. Selon nos confrères, elle ne serait « pas disposée à revenir pour autant ».
Le Prince Albert II met les choses au clair
Au cours d’une interview menée par les journalistes de People, le Prince Albert II a rassuré sur la solidité de son mariage. Selon le souverain, sa belle n’était pas partie parce qu’elle était fâchée contre lui ou quelqu’un d’autre. « Charlène de Monaco s’est rendue en Afrique du Sud pour les besoins de sa fondation. Elle profite de son séjour pour passer du temps avec sa famille et ses amis africains ».
Le séjour de l’ancienne nageuse ne devait durer qu’une dizaine de jours à la base. Ces propos n’ont pas suffi à rassurer le magazine France Dimanche, qui fait état d’une implosion au sein du couple princier. Comme on peut le lire dans les colonnes de l’hebdomadaire : « Comment expliquer alors que Charlène, arrivée mi-mars dans son pays d’origine, ait passé plus d’un mois sur place ? En avril, elle ne souffrait d’aucune forme de maladie, mais ne semblait pas pour autant prête à rentrer.
