Enfin de retour sur le Rocher après une longue absence, Charlène de Monaco fait parler d’elle. En effet, cette dernière était admise en Suisse, pour un traitement contre la dépression. Maintenant indépendante et remise d’aplomb, elle souhaite aussi faire bénéficier de ce privilège de liberté à sa fille Gabriella. Une émancipation qui représente un important combat.
Charlène de Monaco souhaite l’émancipation de sa fille Gabriella
La première dame monégasque a survécu à la dépression, après un séjour dans un centre spécialisé en Suisse. À présent, son vœu est d’émanciper sa fille Gabriella. Elle est déterminée à tout faire pour réaliser ce souhait et ainsi l’aider, selon les rapports du magazine Public relatant les coulisses de leur sortie le 24 mai dernier. Ce fut précisément la 10e édition de la Monte-Carlo Fashion Week.
Et ce jour-là, l’ancienne nageuse a fait de son mieux pour que la pression médiatique ne fasse pas d’effets sur sa fille. Car elle sait qu’on la surveille beaucoup. Son objectif est alors de la préserver, de la protéger contre cela, d’après ses propres explications auprès de Nice-Matin, où elle a effectué une prise de parole.
Elle veut préserver sa fille
« Gabriella a un style qui lui est propre et j’aime encourager cette individualité. », souligne la femme du prince Albert de Monaco. Elle était en fait splendide, contrairement aux rumeurs de la presse espagnole qui la pensait défigurée par la chirurgie.
«Le message sous-jacent est clair : elle souhaite que sa fille puisse développer sa propre personnalité. Elle fera tout pour qu’elle puisse l’exprimer, quoi qu’en pensent les commentateurs royaux et autres mauvaises langues », a déclaré le magazine Public.