Une fois qu’elle sera parfaitement rétablie, Charlène de Monaco n’hésiterait pas à prendre sa revanche vis-à-vis de Nicole Coste, considérée comme son ennemie numéro un au Rocher. L’ex-compagne du Prince Albert II de son côté, semble bien décidée à rester à Monaco. Le point à travers cet article !
« Le prince n’a aucune influence sur Nicole Coste »
Avant de se marier avec Charlène de Monaco, le Prince Albert II a eu des aventures avec d’autres femmes. Parmi elles figure Nicole Coste. De leur union est né Alexandre Grimaldi Coste, aujourd’hui âgé de 18 ans. Dans son édition de cette semaine, nos confrères allemands de In Touch reviennent sur les embrouilles entre l’ex-hôtesse de l’air et la Première dame du Rocher. Dans un récent entretien, la mère de famille togolaise a confié : « Je me fous de ce qui arrive à Charlène ».
Pour rappel, la mère de Jacques et Gabriella suit actuellement un traitement en Suisse après avoir développé une fatigue extrême à l’issue de son séjour en Afrique du Sud. Depuis, la princesse est dans un état fragile. Une situation qui semble laisser sa rivale du Palais indifférente. À la suite de ces déclarations chocs, le Souverain a décidé de recadrer son ex.
« C’était déplacé de sa part. J’étais fou de rage lorsque j’ai regardé l’entretien », souligne le frère de Caroline. Pourtant, il y a quelques jours, le Souverain a convié son ex-compagne au Rocher à l’occasion des festivités de la Sainte-Dévote. À ce propos, le magazine rapporte : « Visiblement, le prince n’a aucune influence sur Nicole Coste ».
« Il ne faut pas la sous-estimer »
Reste à savoir si Charlène de Monaco saura écarter sa principale rivale une fois qu’elle sera de retour au Rocher. Pour illustrer ces allégations, l’hebdomadaire se base sur les récents aveux de Mike Wittstock. Le père de l’ancienne nageuse a tenu à féliciter sa fille pour ses nombreuses qualités. Comme le souligne le père de famille : « C’est une femme battante. Elle est forte et courageuse. Elle s’en sortira de cette épreuve plus forte, comme toujours (…). Il ne faut pas la sous-estimer », a-t-il conclu.