Les derniers mois ont été particulièrement difficiles pour Charlène de Monaco en raison de son addiction à de puissants somnifères. Une sombre réalité que traverserait également Jade Lagardère, l’épouse d’Arnaud Lagardère. Elle aurait tenté de se suicider. Le point à travers cet article.
Charlène de Monaco malade en Suisse
Dans son édition sortie le mois de novembre dernier, le magazine Voici a donné des nouvelles au sujet de l’état de santé de Charlène de Monaco. Pour rappel, la femme du Prince Albert II a été internée dans un centre de soins spécialisés situé à l’étranger à la suite d’une forme de dépression. L’hebdomadaire souligne que la princesse a été accro à de dangereux somnifères pendant plusieurs années.
Parmi les médicaments en question figurent des opioïdes toxiques à l’instar du Stilnox et certains dérivés du Carfentanil. Selon un média spécialisé, ces substances seraient plus dangereuses que la morphine, l’héroïne ou le fentanyl. Raison pour laquelle elle suit un traitement en Suisse. « Tout a débuté lorsqu’elle avait été blessée il y a plusieurs années. La Première dame a alors commencé à prendre des antidouleurs », rapporte la publication.
« J’ai même essayé de me suicider… »
Malheureusement, Charlène de Monaco est tombée dans un cercle vicieux. Cette forme d’addiction a également touché Jade Lagardère qui s’est confiée sur le sujet lors d’un entretien pour La Meuse. La top model de 31 ans est actuellement en pleine campagne de la troisième tome de sa bande dessinée intitulée « Opération Dragonfly ».
Dans les colonnes de l’hebdomadaire, la femme d’Arnaud Lagardère a confié : « En 2020, j’avais pris une dizaine de kilos en raison d’une crise d’angoisse. J’étais également accro à des médicaments contre des maux de tête qui m’ont rendue dépressive. J’ai même essayé de me suicider », a-t-elle expliqué.
La mère de trois enfants enchaîne en ajoutant : « J’ai traversé des épreuves difficiles. Les réseaux sociaux ne véhiculent pas toujours notre personnalité. La santé psychologique est capitale et à mon avis, il ne faut pas avoir honte de le partager lorsqu’on va mal. Il faut en parler pour aller mieux », a-t-elle conclu.