Si Charlène de Monaco ne semble pas pressée de rentrer au Palais, après avoir été séparée de son mari et de ses enfants durant plusieurs mois, ce serait peut-être à cause d’un ami cher à son cœur. La femme du Prince Albert II ne veut pas se séparer de son acolyte…
Un séjour volontairement prolongé par Charlène de Monaco ?
Ce grand ami de Charlène de Monaco a toujours été présent pour soutenir la princesse le long de sa convalescence en Afrique du Sud. Pour rappel, l’épouse du Prince Albert de Monaco souffre d’une infection ORL qui la retient dans son pays natal. Tout a commencé après une intervention esthétique sur les dents. L’ami dont il est question ici n’est autre que Misuzulu, le nouveau roi des Zoulous.
Les deux inséparables affichent une belle complicité sur les photos postées sur les réseaux sociaux. Un rapprochement rapporté par nos confrères de France Dimanche dans leur édition de cette semaine. L’hebdomadaire qualifie le chef de la célèbre tribu africaine à un autre « homme » dans la vie de la princesse.
Dans les colonnes du magazine, on peut lire : « Depuis ce jour, Charlène de Monaco et Misuzulu ne se quittent plus. Leur complicité est telle que le Rocher se demande si la première dame ne prolonge pas volontairement son séjour en Afrique du Sud. L’objectif : rester le plus longtemps possible auprès de son fidèle ami ».
Une « précieuse amitié »,
Toujours selon France Dimanche, Charlène de Monaco et Misuzulu partagent une « précieuse amitié ». Serait-ce une raison suffisante pour la mère de Jacques et Gabriella de rester définitivement en Afrique du Sud ? Quid de ses jumeaux ? Va-t-elle réellement les abandonner ? Seul l’avenir nous en dira plus !
En attendant, les rumeurs courent selon lesquelles l’ancienne nageuse se sentirait « délaissée » et « exclue » au sein de la principauté. Là-bas, elle n’a pas d’amis. Comme l’a confié la jolie blonde de 43 ans lors d’un récent entretien : « J’ai du mal à tisser des liens d’amitié en raison de mes origines modestes. Mon sens de l’humour ne correspond pas aux Monégasques », a-t-elle expliqué.