Après un long moment d’absence, Charlène de Monaco devrait refaire surface dès cette semaine. Il semble que ce grand retour serait pour ses jumeaux, Jacques et Gabriella. Or, ce n’était pas le cas. On vous dit tout !
Charlène de Monaco de retour ?
Il paraît que la famille royale séjournait à l’hôtel 4 du Parc, Les Quais de Lutèce. Lors des vacances du souverain du Rocher avec ses deux jumeaux, en Corse, la princesse ne s’affichait pas avec eux. Cette fois, on ne l’a pas repérée à leur côté.
Cependant, Charlène de Monaco pourrait réapparaitre, selon le magazine Neue Post. Mais ce serait pour la rentrée de ses petits écoliers cette semaine, semble-t-il. Plus précisément, le 2 septembre. Un retour que tout le monde attend.
Pourquoi la princesse s’était-elle éloignée des regards ?
Durant de longs mois de convalescence, la princesse Charlène de Monaco n’a pas pu voir grandir ses jumeaux, Jacques et Gabriella, âgés de 7 ans. En effet, soignée pour des problèmes de santé, elle a dû rester pendant dix mois en Afrique du Sud, son pays natal.
De retour officiellement en terres monégasques depuis le 12 mars, un communiqué avait été diffusé concernant son état de santé : « En accord avec ses médecins et alors que son rétablissement est en bonne voie, leurs altesses sérénissimes ont convenu ensemble que la princesse Charlene peut désormais poursuivre sa convalescence en principauté, auprès de son époux et de ses enfants. »
Pourtant, le magazine allemand indiquait au public que Charlène de Monaco était hospitalisée à Zurich, au début de l’année. Une addiction aux médicaments et aux somnifères aurait provoqué son hospitalisation.
En effet, Neue Post a confié que la mère des jumeaux était soignée « pour un état de fatigue générale profond ». Cependant, le prince Albert de Monaco avance un tout autre propos en parlant de « cure de repos ». « Elle savait déjà que la meilleure chose à faire était d’aller se reposer et de suivre un vrai traitement encadré médicalement. Elle a réalisé elle-même qu’elle avait besoin d’aide. On ne peut pas forcer quelqu’un à comprendre qu’il a besoin d’un traitement, il doit l’accepter lui-même », a-t-il indiqué.