Alors qu’elle est toujours en convalescence dans un centre de soins spécialisés en Suisse, Charlène de Monaco fait l’objet d’un portrait exclusif. Dans les colonnes du magazine Tatler, on apprend une surprenante anecdote au sujet de ses fiançailles avec le Prince Albert II. Celle-ci concerne notamment la réaction de son père, Michael Kenneth Wittstock.
Un père de famille réservé
De nature discrète et réservée, Mike Wittstock prend rarement la parole en public. Mais dans un article récemment publié par Tatler, on apprend un peu plus sur la personnalité du père de Charlène de Monaco. Dernièrement, il a donné des nouvelles de sa fille qu’il estime « courageuse » et « forte ». Le mari de Lynette est ainsi optimiste et assure que l’ancienne nageuse se rétablira très vite de sa « fatigue générale ».
Mike Wittstock a notamment insisté sur le mental de championne de la première dame. En attendant, nos confrères sont revenus sur une drôle de séquence qui s’est passée il y a une dizaine d’années lorsque le Prince Albert II avait demandé la main de Jacques et Gabriella. Au cours des fiançailles, le père de famille a réagi d’une manière très inattendue.
Albert II interrompt son futur beau-père au mauvais moment
Dans un portrait entièrement dédié à Charlène de Monaco, cette dernière raconte cette anecdote invraisemblable. En décembre 2010, Albert II l’avait demandé en mariage. Mais les mois précédant la cérémonie, le Souverain a dû se présenter au père de sa future femme. 3 ans plus tôt, la jolie blonde de 43 ans a sacrifié sa passion pour la natation afin de vivre au sein de la Principauté.
« Avant d’annoncer la bonne nouvelle publiquement, je lui ai demandé de prévenir mon père. Ce jour-là, l’Afrique du Sud affrontait la France dans le cadre de la coupe du monde. Mon père a rapidement accordé sa bénédiction et il est vite retourné suivre le match sans être très attentif à notre demande », raconte la princesse.
En juillet 2010, les deux amoureux vont alors se dire devant leurs proches à Monaco. Le jour J, la pression est énorme pour la première dame qui réalise petit à petit les responsabilités qu’elle va désormais tenir au Palais. C’est le début d’un long et terrible marathon. Aujourd’hui, elle a déserté le Rocher et le peuple attend toujours avec impatience son retour…