Visiblement, les relations sont tendues entre Charlotte Casiraghi et Beatrice Borromeo. Mais pourquoi le torchon brûle-t-il entre les deux femmes ? La rédaction de Lacs champagne mène l’enquête pour vous !
Les mois qui vont suivre risquent d’être explosifs entre Charlotte Casiraghi et sa belle-sœur, Beatrice Borromeo. Pour rappel, l’une est Égérie de Chanel tandis que l’autre représente Dior. Cette dernière a été nommée membre du clan royal la mieux vêtue par un média britannique. De quoi rendre la fille de Caroline de Monaco jalouse…
Beatrice Borromeo élue princesse la mieux habillée
À 36 ans, avec son talent indéniable pour la mode, Beatrice Borromeo a été élue princesse la mieux vêtue du monde par le magazine britannique Tatler. Ce dernier a vu le jour en 1901 grâce à Clément Shorter. La première édition a été partagée par le groupe américain de presse Condé Nast. À l’époque, il ciblait pour lecteurs des fashionistas au revenu aisé style de vie britannique. Le magazine était lu par des membres de la haute société et des politiciens.
En conséquence, la femme de Pierre Casiraghi prend la place de Kate Middleton, la future reine consort, et Meghan Markle, la compagne du prince Harry. La fille de Caroline ne peut être réduite à une simple figure de la mode, comme c’est le cas de sa belle-sœur. Il faut dire que Charlotte Casiraghi adore les livres, une passion commune qu’elle partage avec le défunt directeur de la maison Chanel, Karl Lagerfeld.
Charlotte Casiraghi en admiration devant Karl Lagerfeld
Dans les colonnes de Madame Figaro, l’héritière monégasque a confessé : « Ma passion pour les livres nous a rapprochés. C’était un partage intime, presque confidentiel. On n’était pas du genre à discuter de sujets autour de la mode », souligne-t-elle. Charlotte Casiraghi enchaîne en expliquant : « Il m’a énormément motivé dans mes études. Lorsque j’étais une adolescente, je passais les vacances d’été chez lui, à Biarritz ».
Toujours selon l’écrivaine, Karl Lagerfeld lui a permis de découvrir Lou Andreas-Salomé, la poésie d’Emilie Dickinson et de Rainer Maria Rilke… Pour conclure, la mère de Balthazar Rassam affirme : « Il m’envoyait des ouvrages de philosophie très compliqués et des traductions d’ouvrages rares ».. Une chose est sûre : la journaliste était très proche du regretté artiste.