En participant à Fort Boyard, Cyril Féraud a réussi à vaincre l’une de ses plus grandes phobies. La rédaction de Lacs champagne vous en dit plus dans les prochaines lignes !
Voilà maintenant un an que Cyril Féraud a rejoint l’équipe du père Fouras, en incarnant le personnage de Cyril Gossbo sur France 2. Mais avant de briller sur le plateau de Fort Boyard, l’animateur de 36 ans a dû apprendre à côtoyer ses nouveaux amis, incluant… des serpents !
Un animateur qui cartonne
Depuis qu’il a débarqué sur France Télévisions en 2009, Cyril Féraud est devenu d’un des présentateurs les plus célèbres de sa génération. Voilà 11 ans que le séduisant blondinet orchestre l’émission Slam, le rendez-vous incontournable des passionnés de mots. Il a également contribué à moderniser La carte aux trésors en dépit des critiques des haters.
Ces derniers reprochent à la production de polluer la planète. Avec plusieurs cordes à son arc, il fait désormais partie des gardiens protecteurs de Fort Boyard. Sous les traits de Cyril Gossbo, le jeune animateur concocte aux candidats des questions de culture générale où chaque mauvaise réponse est réprimée par de la slime. À l’occasion de son entrevue pour TV Magazine, il est revenu sur son parcours.
Une expérience qui a changé Cyril Féraud
Après avoir confié sa passion pour son nouveau personnage, Cyril Féraud annonce qu’il n’est pas près de quitter son costume. Il profite également de cet entretien pour revenir sur ses rapports aux départs compliqués avec ses collaborateurs : les serpents. Après quatre interventions au Fort, le présentateur avait toujours une peur bleue de ces reptiles.
Comme l’explique l’animateur de 36 ans : « J’avais très peur des serpents. J’ai réalisé le programme six fois comme participants et comme ils savaient que j’avais la phobie des serpents, ils en mettaient partout où j’allais. Mais Fort Boyard m’a aidé à combattre ma peur ».
Le principal concerné enchaîne en soulignant : « L’année dernière, j’ai passé 30 minutes avec Denis et Stéphanie, des collègues formidables qui adorent leurs animaux. Grâce à eux, j’ai pu maîtriser cette peur et apprendre à manier les reptiles ». Et le collègue d’Olivier Minne de conclure : « Je suis content que Fort Boyard ait transformé cette phobie en un petit kif ».