Un homme a fraudé l’établissement public chargé d’emploi. (Pôle Emploi)
En mi-avril, l’Hebdo de Sèvre & Maine, a rapporté la censure de l’homme qui a escroqué Pôle Emploi pendant deux ans. Effectivement, le sexagénaire, résidant à Clisson, en Loire-Atlantique, a signalé une fausse déclaration entre 2015 et 2017.
C’est pourquoi, il a reçu un montant total de 91 400 euros comme allocation d’aides de retour à l’emploi.
Demande de dommages et intérêts réprouvés.
L’avocate du groupe, Maëlle Kermarrec, a relevé dans des journaux locaux que l’ancien directeur régional d’une société de transport, condamné par le tribunal de Nantes, doit encore 82.000 euros à Pôle emploi après qu’un » échéancier a été mis en place« . Afin de rembourser cette énorme dette, le sexagénaire s’est mis au travail. Il a ouvert une entreprise de “transport de colis urgents” à partir de janvier 2021.
En plus de l’argent à rembourser, le fraudeur a été condamné à six mois de prison avec délai. Il doit également rembourser à l’exécutif les frais de justice, soit 1 500 euros. Pôle Emploi réclame pareillement, par l’intermédiaire de ses avocats, 2 000 euros « de dommages et intérêts pour la désorganisation du service ». Or, la demande n’a pas été acceptée, car la mobilisation d’agents pour enquêter sur les fraudes fait partie de l’obligation du gouvernement, selon la Justice.