L’heure des règlements de compte a sonné pour Eric Zemmour ! Retour sur cette vérité cash qui a brisé le cœur de Bernadette Chirac, pourtant fragilisée par son état de santé.
Partagé entre son épouse Mylène et sa conseillère Sarah Knafo, Eric Zemmour a eu droit à une correction de la part de Paris Match. Le magazine fait état d’un double jeu. Une affaire pénible a été avancée par l’hebdomadaire au sujet du journaliste et de ses rapports avec Bernadette Chirac. Le point à travers cet article !
Éric Zemmour se lâche sur le suicide de Laurence Chirac
La sombre affaire en question remonte au jour où le polémiste avait lâché des propos cash concernant le suicide de la fille de Bernadette Chirac. Pour rappel, Laurence Chirac s’est donné la mort le 14 avril 2016 à Paris. Une tragédie qui a peiné la femme politique de 88 ans. Dans un récent numéro qui met en lumière Sylvie Vartan, le magazine répond au candidat putatif de l’extrême droite.
Celui qui a officié auparavant en tant que journaliste a été repéré avec sa jolie brune de 28 ans sur une plage paradisiaque, située dans le sud de la France. Éric Zemmour n’hésite pas à « évoquer la vie privée des politiques », glisse la publication. Le mari de Mylène Chichportich va même plus loin en réalisant un discours bien rodé sur le suicide de la fille des Chirac.
Des photos qui créent le buzz
« Désormais, il se prend pour un briseur de tabous et propagateur de vérités embarrassantes. N’est-il pas tombé dans son propre piège ? En France, mener une double vie n’est pas un problème de pouvoir. Jouer double jeu oui », peut-on lire dans les colonnes du magazine Paris Match. Nos confrères assurent ensuite que les clichés partagés par le polémiste et sa compagne ne sont pas dérobés.
« Non, nous n’avons pas espionné qui que ce soit. Nos clichés ont été pris sur une place publique, devant des dizaines de badauds, témoins de la scène que nous avons photographiée », insiste-t-il. De son côté, Eric Zemmour a critiqué Paris Match, reprochant à l’hebdomadaire de tenter de nuire à sa carrière en le qualifiant de « caniche du pouvoir ».