Alors qu’elle va bientôt animer un programme inédit « Les Temps changent » dont la diffusion est prévue la semaine prochaine, Faustine Bollaert est morte d’angoisse. La raison ? Les questions parfois tracassantes des internautes sur les réseaux sociaux. L’animatrice craint de ne pas être à la hauteur.
« Ils m’attribuent parfois un rôle qui me dépasse… »
À l’occasion d’un récent entretien, Faustine Bollaert a fait quelques confidences au sujet de ses angoisses. « Les critiques et les reproches à mon égard sur les réseaux sociaux m’importent peu », affirme celle qui partage sa vie avec le géant du Thriller, Maxime Chattam. L’animatrice est surtout inquiète à l’idée que le public remporte sur elle le manque de maternité ou le fait d’être une simple amie. Dans les colonnes de Télé Star, la mère de deux enfants avoue que cette mission la dépasse.
Comme l’explique la présentatrice : « Ils m’attribuent parfois un rôle qui me dépasse, devant lequel je me sens parfois impuissante. Lorsque je reçois des messages, je suis angoissée de savoir si ma réponse sera suffisante pour combler leurs attentes », enchaîne-t-elle. La plus grande crainte de celle qui a déjà animé « Le meilleur pâtissier » est de décevoir les téléspectateurs.
Faustine Bollaert brille sur France 2
Avec ses programmes mettant en avant la proximité et les témoignages, Faustine Bollaert a réussi à obtenir une place singulière dans le cœur du public. Aujourd’hui, elle n’est plus une figure inconnue de l’univers télévisuel. « Même si je suis honnête et très investi dans mon travail, lorsque j’accueille des invités, il y a toujours un décalage entre ma vie professionnelle et ma vie personnelle », poursuit l’animatrice.
En attendant, avec son sens de l’écoute et son charisme indéniable, la principale concernée continue à faire la pluie et le beau temps dans « Ça commence aujourd’hui » sur France 2. Malgré ses efforts, elle est cependant la cible préférée des détracteurs sur les réseaux sociaux. Quoi qu’il en soit, la mère de famille peut être fière de son parcours !
