De nouvelles révélations viennent de tomber concernant la fin de vie de Jean-Paul Belmondo. Carlos Satto Mayor a fait des aveux chocs sur le sujet cette semaine. On vous dit tout !
L’heure est venue pour Carlos Satto Mayor de briser le silence autour des dernières heures de Jean-Paul Belmondo. Dans son ouvrage intitulé « Jean-Paul Belmondo, mon homme de Rio », l’actrice revient sur les multiples facettes de Bébél. Pour rappel l’illustre acteur s’est éteint le 6 septembre dernier à l’âge de 88 ans.
Jean-Paul Belmondo possessif ?
Carlos Satto Mayor a passé du bon temps en compagnie de Jean-Paul Belmondo l’année dernière dans le sud de la France. La séduisante Brésilienne de 60 ans a pris soin de partager des moments forts de son idylle avec le regretté artiste. Une histoire d’amour passionnée qui a duré sept ans. Des extraits de son livre ont été repris par nos confrères d’Ici Paris dans leur édition sortie le 22 septembre dernier.
C’est ainsi qu’on a appris que la légende du cinéma français était un personnage « possessif », « ascendant » et « parano ». La romance avec l’écrivaine a duré sept ans avant que les choses ne finissent par s’envenimer. L’ex-compagne de l’acteur émérite explique que ce dernier la voulait pour lui tout seul !
Carlos Satto Mayor vide son sac !
Au cours de sa prise de parole, Carlos Satto Mayor confie : « Je devais être attentive aux moindres de ses souhaits, faire preuve d’admiration envers lui, être aux petits soins (…). J’ai réalisé que c’était quelqu’un qui aimait faire preuve de domination, mais je ne pensais pas qu’un jour, nous puissions en arriver là », a déploré l’interprète de « Crazy about you » dans son ouvrage.
La chanteuse, qui a brillé par son absence lors de l’hommage rendu à Bébel reconnaît volontiers qu’elle prenait régulièrement la fuite. Elle se rendait à des séances d’enregistrement et des rendez-vous professionnels.
Des absences répétées qui irritaient le comédien l’accusant de lui être infidèle. Il était convaincu qu’elle le trompait avec un autre homme. Comme le souligne la principale intéressée : « Il se faisait des films. Les passions extrêmes sont presque toujours toxiques », a-t-elle conclu.