Francis Cabrel a traversé auparavant des difficultés sur le plan financier. Le chanteur a accepté de faire un témoignage bouleversant à ce sujet lors d’une récente entrevue. On vous dit tout !
Avant d’arriver au stade où il en est aujourd’hui, Francis Cabrel a traversé plusieurs épreuves difficiles, notamment sur le plan financier. Le chanteur de 67 ans a accepté de se confier sans tabou sur cette étape de son passé. Le point à travers cet article !
Un chanteur aux origines modestes
Petite Marie, Je l’aime à mourir, Sarbacane… Davantage de chansons qui ont fait la popularité de Francis Cabrel. Depuis, l’artiste est devenu une icône emblématique de la musique française. Doué pour l’écriture et pour la composition, le père d’Aurélie, Thiu et Manon a vu ses titres cartonnés dans les quatre coins du globe. D’ailleurs, son tube Je l’aime à mourir a été repris par la star mondiale Shakira.
Mais tout ce succès n’est pas venu naturellement ! Il faut savoir que le père de famille est issu d’une famille modeste. Il a dû travailler énormément, à la même image que son père pour survivre. À l’occasion d’une entrevue pour Paris Match, le compagnon de Mariette s’est livré au sujet de cette enfance et de son nouvel album.
« M’exposer, raconter mon adolescence, comment nous vivions. J’ai toujours trouvé cela misérabiliste. Et, même si je n’apprécie pas les contes de fées, je dois avouer que nous sommes partis de rien, voire de triple zéro ».
« Il avait trois enfants à nourrir avec un minimum de salaire. »
Dans son dernier opus, Francis Cabrel rend un vibrant hommage à son papa. Une façon pour lui de le remercier malgré qu’il soit parti trop tôt. À ce propos, le principal concerné souligne : « Mon papa s’est sacrifié pour nous en travaillant chaque jour de sa vie. Il avait trois enfants à nourrir avec un minimum de salaire. Les loisirs n’existaient pas. Ses enfants s’en sont tous sortis, mais lui il a vraiment trimé ».
Pour Francis Cabrel, il est clair qu’il n’en serait pas là où il en est aujourd’hui sans les sacrifices de son papa. « Au fond, mon père n’a pas eu la récompense qu’il méritait pour sa force de travail. Si je peux réaliser un parallèle entre ma vie et la sienne, je dirais je suis aussi travailleur que lui, j’ai la même concentration, la même persévérance ».