Franck Dubosc s’est effondré en larmes en s’exprimant sur le décès de son père face à Audrey Crespo-Mara. Le père de famille s’est éteint des suites de la maladie de Charcot. Retour sur ces échanges poignants qui ont eu lieu sur le plateau de Sept à huit sur TF1.
Franck Dubosc très attaché à son papa
À l’occasion de son passage dans Sept à Huit, Franck Dubosc s’est livré un peu plus au sujet de sa vie familiale, et plus précisément la perte de son père. Devant les caméras de TF1, l’humoriste confie : « Il a vu que j’avais fait l’Olympia », en faisant référence à son défunt papa. Ce dernier est mort en 2002 des suites de la maladie de Charcot.
Une relation père-fils exceptionnelle qui fait l’objet d’un téléfilm diffusé sur La Une. Le père de famille n’a jamais vu le comédien sur scène. Lorsque l’ex-compagnon de Charlotte Casiraghi a commencé à connaître du succès, son père était déjà fragilisé par sa maladie. Comme le souligne le père du petit Raphaël : « Il n’a pas assisté au spectacle, car il n’était pas en mesure de se déplacer. Néanmoins, il a vu que je l’avais fait il était fier de mon courage », explique-t-il, le cœur lourd. Quelques jours après, son papa lui a remis une lettre et un dessin dans lequel il exprime sa joie d’être son père.
Un témoignage bouleversant
La lettre en question, Franck Dubosc le garde soigneusement chez lui. Comme il le raconte : « Mon père m’a remis en dessin qui me suit partout, à l’intérieur de mon agenda ». Ce dessin représente l’acteur de 50 ans sur la scène de l’Olympia. Il est similaire à un dessin réalisé par un enfant à l’époque où le père de famille l’a dessiné, il était déjà épuisé par la maladie. Il avait donc des difficultés à se servir de ses mains.
« Mon père a gagné son combat puisqu’il a lutté contre cette affreuse maladie », enchaîne l’humoriste. Plus tard, ses amis lui expliquent que son père était extrêmement fier de son fils. « Malheureusement, la seule fierté qu’il peut ressentir c’est le fait de voir que son fils est passé à l’Olympia. Est-ce une énorme fierté ? La seule fierté qu’il aurait dû ressentir, c’est que je sois un vrai fils, pas un vrai comédien », a-t-il conclu, les larmes aux yeux.