Le weekend dernier, Thomas Dutronc a partagé des nouvelles peu rassurantes concernant l’état de santé de sa mère, Françoise Hardy. Pour rappel, la chanteuse de 77 ans se bat depuis plusieurs années contre un cancer qui lui mène le quotidien difficile. Le point à travers cet article !
« MA MÈRE N’EST PAS MORTE ! »
L’été dernier, les rumeurs ont enflé au sujet de Françoise Hardy. Les bruits couraient selon lesquelles l’artiste aurait perdu la vie. De quoi déclencher une colère noire chez son fils unique, Thomas Dutronc. Au cours de sa mise au point, le fils de Jacques a clairement indiqué : « MA MÈRE N’EST PAS MORTE ! On vient de parler au téléphone. Les médecins ont diagnostiqué un cancer du système lymphatique. Elle doit procéder à une radiothérapie pour le traitement de sa maladie. Les effets secondaires provoquent des douleurs atroces », a-t-il souligné.
Aujourd’hui, on apprend que la mère de famille est en pleine rémission. Dimanche, son fils a donné de ses nouvelles à l’occasion d’un entretien exclusif : « Même si elle n’est pas en bonne santé, ces jours ne sont pas en danger. Elle est en pleine émission et son traitement laisse des séquelles irréversibles ». Voilà qui devrait rassurer les fans de : « Tous les garçons et les filles ».
Françoise Hardy se bat depuis plusieurs années pour survivre
Depuis 2019, Françoise Hardy mène un combat ardu contre son cancer. Il faut dire que les chimiothérapies à répétition ont des conséquences considérables sur son état de santé. Aujourd’hui, la comédienne est très épuisée. Compte tenu de son état encore fragile, l’artiste n’a pas pu se faire vacciner contre le Coronavirus, contrairement à ses proches. Ce qui le rend d’autant plus vulnérable.
À ce propos, l’ex-femme de Jacques Dutronc précise : « Je suis à court de lymphocytes et mon système immunitaire n’est plus aussi efficace », dans les colonnes de Technikart. Le médecin traitant de Françoise Hardy lui déconseille vivement la vaccination et lui recommande de rester en isolement à cause de l’épidémie.
« Je suis confiné depuis 2019 et je dépends des autres pour survivre. Au cours du premier confinement, mon acolyte Marco, qui vit en banlieue, n’a pas pu me donner à manger. À cause de la crise sanitaire, l’approvisionnement en eau était très difficile. Cette situation m’a beaucoup angoissé », a-t-elle conclu.