De nouvelles révélations viennent de tomber au sujet de Gad Elmaleh qui aurait vécu un véritable calvaire aux côtés de Virginie Efira. Le point à travers cet article !
Gad Elmaleh est actuellement à l’affiche de la troisième saison de “LOL : qui rit, sort !” disponible sur la célèbre plateforme vidéo d’Amazon. Une expérience qui n’a pas été facile à vivre pour l’humoriste aux côtés de plusieurs célébrités à l’instar de Jonathan Cohen, Géraldine Nakache, Adèle Exarchopoulos, Paul Mirabel mais aussi Virginie Efira.
“Qui rit sort” cartonne sur Amazon Prime Video !
Vendredi dernier, les abonnés d’Amazon Prime Video ont pu retrouver leurs célébrités préférées à l’affiche de “Qui rit, sort !”, l’émission animée par Philippe Lacheau. L’acteur a recruté les meilleures personnalités dans le cadre de cette aventure humoristique. Parmi elles figurent Gad Elmaleh, Leïla Bekhti, Pierre Niney, Adèle Exarchopoulos, François Damiens, Laura Felpin et Virginie Efira. Une aventure qui n’a pas été facile à vivre pour certains acteurs.
Dans les colonnes de Télé Loisirs, Adèle Exarchopoulous confie : “Le concept est difficile : passer des heures avec des stars de l’humour sans pouvoir rigoler, c’est dur ! Néanmoins, c’était une belle expérience, très enrichissante !”. Pour Gad Elmaleh, lui aussi, ce fut un véritable calvaire !
Une expérience difficile pour Gad Elmaleh
Le tournage de l’émission n’a pas non plus été évident pour Gad Elmaleh. Comme il l’explique : “C’est un enfer ! Pour ma part, j’ai vraiment eu du mal à vivre ces instants. Je sais que j’exagère un peu mais c’est vraiment difficile de ne pas rire lorsqu’on est humoriste !”. En compagnie de Virginie Efra, l’ex-compagnon de Charlotte Casiraghi enchaîne : “Lorsqu’on ne réalise pas ce métier, on ne sait pas si ce qu’on fait est amusant. Lorsqu’on est humoriste, on réalise des choses déjà ressenties par plusieurs milliers de personnes. Il y a des séquences qui font rire des années durant puis ne marchent plus. Il n’y a pas de feedback. Et comme ils sont talentueux, c’est perturbant (…)”.
