Le lundi 20 juin 2022, le programme de Cyril Hanouna, TPMP a ressassé l’histoire du licenciement de Jean-Jacques Bourdin. Un chroniqueur a même dévoilé de nouvelles informations à propos de ce dernier.
Jean-Jacques Bourdin : deux fois accusé d’agression sexuelle
Ça fait des mois que le public de BFM TV et RMC n’avait plus entendu parler de Jean-Jacques Bourdin. En effet, Fanny Agostini a déposé une plainte contre lui pour tentative d’agression sexuelle. Selon la journaliste, l’homme de 73 ans aurait « tenté de l’embrasser de force ». Cela s’était déroulé au cours d’un voyage professionnel en 2013 en Corse, plus précisément à Calvi. Mediapart a diffusé cette information dans ses colonnes et l’époux d’Anne Nivat continue de la contester.
En février 2022, une autre plainte pour harcèlement et exhibition sexuelle a de nouveau visé Jean-Jacques Bourdin. Hélas, ces deux actions judiciaires sont classées sans suite. Par conséquent, cela a joué un rôle dans la rupture du contrat liant le groupe Altice et le célèbre journaliste. Rappelons que ce dernier y a quand même travaillé pendant 21 ans. Il est possible que ces longues années de services justifieront la somme astronomique des indemnités qu’il devrait recevoir.
TPMP revient sur son limogeage
Le 20 juin 2022, l’émission « Touche pas à mon poste » a reparlé du récent renvoi de Jean-Jacques Bourdin du groupe Altice. Par ailleurs, Gilles Verdez avait dit que les indemnités de licenciement du célèbre journaliste devraient être « très conséquentes”. Plusieurs centaines de milliers d’euros ».
Cyril Hanouna a poussé son chroniqueur à être plus précis, car il trouvait que cette information est trop vague. Finalement, Gilles Verdez a révélé : « On m’a parlé d’une somme autour des 500 000 euros ». Le chroniqueur a précisé que la somme pourrait être plus importante parce que « son salaire était très conséquent ».